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La star Diamantino voit son génie s'envoler en pleine finale de coupe du monde. Devenu la risée de son pays, il se confronte à la réalité et aux autres.
Magnifique, candide et attachant, Diamantino est l’icône planétaire du football, un héros flamboyant touché par la grâce. Quand soudain, en pleine Coupe du Monde, son génie s’envole dans les vapeurs roses de ses visions magiques, sa carrière est stoppée net. Problème : il ne connaît rien d’autre. La star déchue, devenue objet de risée nationale, découvre alors le monde – les autres. Le voilà embarqué dans maintes péripéties qui mutent en odyssée : conspiration familiale (ses deux sœurs n’en veulent qu’à sa fortune), manipulations génétiques délirantes, crise des réfugiés, complotisme de l’extrême-droite… Et, au beau milieu de cette tragédie, où son chat semble être son dernier supporter, pourtant, surgit l’amour. Le vrai. C’était écrit.
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"Attention, objet filmique complètement barré ! On ne sait pas ce que fument le Portugais Gabriel Abrantes et l'
"Attention, objet filmique complètement barré ! On ne sait pas ce que fument le Portugais Gabriel Abrantes et l'Américain Daniel Schmidt, mais c'est de la bonne. Love story queer (l'ersatz de Ronaldo a les seins qui poussent !), série Z d'espionnage, satire politique, leur "Diamantino" est un petit bijou aux multiples facettes, loufoques ou poétiques, de notre époque. Grand prix de la Semaine de la Critique du dernier Cannes."
Nicolas Schaller"Pari réussi. Diamantino est à la fois divertissant et radical, pop et subversif. Les références qu’i
"Pari réussi. Diamantino est à la fois divertissant et radical, pop et subversif. Les références qu’ils convoquent sont joyeusement bousculées et réinventées, à la manière du grand alchimiste Bertrand Mandico et non des pseudo hommages réduits à la fonction de gadgets comme le cinéma Hashtag de Guadagnino. Diamantino a cette force d’être à la fois un grand chaudron où bouillonnent mille et une références et totalement singulier, ne ressemblant à aucun autre film. On a hâte de voir l’opus suivant de ces deux prometteurs cinéastes dont le premier film impressionne par sa maîtrise et sa démesure. Une équation casse-gueule qui tient drôlement bien la route."
Xanaé Bove"Gabriel Abrantes et Daniel Schmidt se risquent à manipuler et empiler, comme autant de cubes aux arêtes coupantes et sur
"Gabriel Abrantes et Daniel Schmidt se risquent à manipuler et empiler, comme autant de cubes aux arêtes coupantes et sur le point de tomber, ces divers sujets que sont la crise migratoire, le capitalisme en roue libre, la montée d’un nationalisme exacerbé. C’est ainsi que les deux cinéastes esquissent leurs personnages d’un trait volontairement grossier et spontané (réellement affectueux) : le héros dadais, les terribles sœurs jumelles (simili-Rachel dans Blade Runner mais en bien, bien plus désagréables), la ministre xénophobe en mode docteur Denfer qui tente de cloner le footballeur pour en faire l’opium du peuple, une jeune espionne infiltrée…
Ça ne fait pas vraiment dans la dentelle, les embardées comiques ou lyriques éblouissent ou abrutissent, mais force est d’admettre que les deux auteurs et savants gamins ont plus d’un tour - de magie - dans leur sac. De leurs séquences aux diverses patines (pellicule 16 mm aux grains affirmés, visions de drones, effets spéciaux sur fond vert), ils forment là un film caméléon, aux peaux multiples : rugueuse, ou rafistolée, douce, bariolée puis éraflée. Les scènes les plus oniriques parées d’effets spéciaux kitsch (une chute dans un lac façon néo-chronophotographie ou une ruée de toutous à poils longs sur gazon) se détachent comme autant d’impressions lenticulaires, le sentiment d’un relief étrange que l’on trouve normalement dans ces cartes qui découpent le mouvement en plusieurs images, selon l’angle depuis lequel on les observe. Tout s’embrase, et s’embrassent follement désirs et mutations confondus, dans cette fresque barjo - aux reliefs et dimensions qui s’accumulent là avec l’envie de nous désorienter totalement, voire de nous désorbiter à tout jamais."
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