Martine Doyen :
J'ai fait des études d'arts plastiques et de communication, mais j'ai toujours eu envie de faire du cinéma. J'ai commencé parréaliser des films en super 8 mm. C'étaient de courtes fictions à un ou deux personnages, non dialoguées, à la fois sombres etburlesques, tournées très rapidement. J'assumais tout ; production, caméra, montage, catering… Mes seuls collaborateurs étaientles
acteurs, professionnels ou non. En bricolant ces films, j'ai découvert
une vraie passion et j'ai lâché mon job pour avoir le temps de m'y
consacrer à fond. J'ai fréquenté assidûment la cinémathèque, lu
beaucoup sur le cinéma, pris des cours d'art dramatique et d'écriture
cinématographique. Puis, je suis passée au court métrage en 16 et 35
mm. C'est l'Atelier Jeunes Cinéastes qui a produit mon premier court, aidé par la communauté française et flamande de Belgique; Herman le gangster, un film noir inspiré d'une nouvelle d'Hugo Claus. Ensuite, j'ai commencé à travailler occasionnellement comme réalisatrice pour la télévision, et écrit et réalisé trois courts métrages supplémentaires; L'inso...
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Martine Doyen :
J'ai fait des études d'arts plastiques et de communication, mais j'ai toujours eu envie de faire du cinéma. J'ai commencé par
réaliser des films en super 8 mm. C'étaient de courtes fictions à un ou deux personnages, non dialoguées, à la fois sombres et
burlesques, tournées très rapidement. J'assumais tout ; production, caméra, montage, catering… Mes seuls collaborateurs étaient
les
acteurs, professionnels ou non.
En bricolant ces films, j'ai découvert
une vraie passion et j'ai lâché mon job pour avoir le temps de m'y
consacrer à fond. J'ai fréquenté assidûment la cinémathèque, lu
beaucoup sur le cinéma, pris des cours d'art dramatique et d'écriture
cinématographique. Puis, je suis passée au court métrage en 16 et 35
mm.
C'est l'Atelier Jeunes Cinéastes qui a produit mon premier court, aidé par la communauté française et flamande de Belgique; Herman le gangster, un film noir inspiré d'une nouvelle d'Hugo Claus. Ensuite, j'ai commencé à travailler occasionnellement comme réalisatrice pour la télévision, et écrit et réalisé trois courts métrages supplémentaires; L'insoupçonnable univers de Josiane, Noël au balcon et Pâques au Tison . Avec ces films, j'ai gagné quelques prix dans des festivals internationaux, dont celui de Clermont Ferrand en 2001.
FILMOGRAPHIE
- 1995 - HERMAN LE GANGSTER - 12'.
- 1996 - L'INSOUPÇONNABLE UNIVERS DE JOSIANE - 26'.Grand prix du court-métrage Festival de Valenciennes –
France, 1997 / Prix du meilleur décor sonore Festival international du film court de Virton – 1998
- 1997 - NOËL AU BALCON - 23'.Mention spéciale du Jury pour l'Iris d'Or Festival international du film de Bruxelles , 1998. /
Grand prix du court-métrage Festival de Valenciennes, France, 1998 / Drama Award au Second Annual Shorts International
Film Festival - NEW YORK, USA, 1998. / Prime à la qualité du Ministère de la Communauté Française de Belgique, 1999.
- 2001 - PAQUES AU TISON - 30'. Prix spécial du jury au festival du court-métrage de Clermont Ferrand 2002 Prix de la
cinématographie au Festival « Oh ce court » de Bruxelles 2002 Grand Prix Media 10/10 - Namur 2002 Prix du meilleur court
métrage au Festival Media 10/10 de Namur 2002
- 2005 - KOMMA - premier long métrage co-écrit avec Valérie Lemaître
-
sélectionné au forum des auteurs du 5ème festival des scénaristes de la
Ciotat (2002)
- Prix coup de cœur de la fondation GAN pour le cinéma
2003
Quelques festivals où le film participé :
- 45ème SEMAINE INTERNATIONALE DE LA CRITIQUE de CANNES 2006
- FESTIVAL DU CINEMA INDEPENDANT DE BRUXELLES 2006
- FILMFEST HAMBURG -October 2006
- FILMFEST Warsawa- October 2006
- SAO PAULO IFF – Octobre 2006
- !f ISTAMBUL – Februari 2007
- FANTASPORTO – FEBRUARI 2007
- FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE FEMMES DE CRETEIL 2007. FRANCE
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