Elsa Amiel : "Le corps nous racontait l'histoire."
La réalisatrice Elsa Amiel revient sur la préparation et le tournage de Pearl, son premier long métrage. Elle évoq1
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Léa Pearl, bodybuildeuse, concourt pour le titre de Miss Heaven. Avant la finale, son ex-mari débarque avec son fils, qu'elle n'a pas vu depuis quatre ans.
Léa Pearl concourt pour le prestigieux titre de Miss Heaven, une consécration pour la bodybuildeuse et son entraîneur, Al, qui espère revenir sur le devant de la scène grâce à elle. Mais à quelques heures de la finale, son ex-mari débarque avec son fils, Joseph, qu'elle n'a pas vu depuis quatre ans...
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"Elsa Amiel s’attaque ici avec brio à un univers proche de celui du film de gangsters, qui n’est pas sans rappeler&n
"Elsa Amiel s’attaque ici avec brio à un univers proche de celui du film de gangsters, qui n’est pas sans rappeler Casino de Martin Scorsese. [...] Comme dans ces films de Bertrand Bonello, il s’agit de filmer un monde en vase clos, fascinant mais irrespirable. La caméra flottante circule volontiers parmi les éléments de décor luxueux, les lustres, les costumes étincelants des athlètes. Des panoramiques verticaux caressent leurs muscles tendus et leurs corps sculpturaux, les transformant en puissants héros mythologiques. C’est cette très belle photographie du film qui fait le principal intérêt de Pearl et c’est bien sur ce point que l’on reconnaît un univers viril et codé façon Scarface : à la surface étincelante de cette vie tout en paillettes s’oppose sa brutalité sordide. "
Juliette Goffart"Par-delà la réflexion politique, Pearl est un film atmosphérique et sensuel, où le grain de la p
"Par-delà la réflexion politique, Pearl est un film atmosphérique et sensuel, où le grain de la peau en sueur, sous la fonte, est un morceau de territoire finement exploré, scruté, entre champ de ruines et dune irisée. Où les corps fracassés de certains athlètes tiennent encore sur des attelles, dans une ambiance lynchienne et déshumanisée. Puissance rime avec fragilité : sur le point de monter sur la plus haute marche du podium, Pearl reste sous la coupe de son entraîneur, Al, ex-champion désormais boiteux. Peter Mullan, héros de My Name is Joe, de Ken Loach (1998), excelle dans ce rôle tordu, entre coach protecteur et mâle intrusif."
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