Cannes 2013 : Palme d'or pour "La Vie d'Adèle" d'A. Kechiche
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À Téhéran, en pleine fête du Feu, Rouhi, future jeune mariée, se rend au domicile d’un couple pour quelques heures de ménage. Elle découvre un foyer en crise...
À Téhéran, en pleine fête du Feu, célébration en l'honneur du Nouvel An iranien, Rouhi, future jeune mariée, se rend au domicile conjugal d’un couple pour quelques heures de ménage. Elle découvre alors un foyer en crise où la femme soupçonne son mari d’adultère…
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"Cet appartement est au fond la scène d'un théâtre où se joue une comédie sociale, celle d'u
"Cet appartement est au fond la scène d'un théâtre où se joue une comédie sociale, celle d'un pays, tout le dit dans la mise en scène, en voie de changements aussi brutaux que la vie de ce couple. (...)
La montée de la violence jusqu'à cette fête du feu, qui donne son titre au film, explosions de pétards, foule hystérique, contrepoint du drame intime qui se joue entre une femme adultère et son amant, vient dire que cette société est malade. La scène du théâtre, ce n'est pas seulement cet appartement d'un couple qui se déchire, c'est la rue même, la capitale. (...)
A ne pas manquer."
"« De la belle aube au triste soir», le réalisateur iranien Asghar Farhadi tresse avec dextérité un &e
"« De la belle aube au triste soir», le réalisateur iranien Asghar Farhadi tresse avec dextérité un écheveau à la fois souple et serré de rencontres, de regards, de vies qui se dévoilent et se dissimulent. Ses personnages semblent lancés dans une mystérieuse course de relais, dont le témoin serait le tchador de la jeune fiancée, qui se perd comme son innocence. Un apprentissage de la désillusion, mais aussi de la complexité humaine, mené par une caméra sensible et incisive."
Marie-Noëlle Tranchant" Tragédie aux allures de vaudeville, ce long-métrage intrigant et passionnant se déroule en une journée et
" Tragédie aux allures de vaudeville, ce long-métrage intrigant et passionnant se déroule en une journée et explore, entre le lever du jour et la tombée de la nuit, la douleur et la complexité des sentiments. On y apprend beaucoup de choses sur la vie à Téhéran, la religion, le mariage et les différences de classes. Les trois personnages féminins, beaucoup plus profonds qu'en apparence, déclinent les différentes facettes de la femme iranienne d'aujourd'hui, avec ses rêves et ses combats, ses peurs et ses entraves."
Isabelle Danel" Le troisième long métrage de l'Iranien Asghar Farhadi s'efforce de trouver la juste tonalité, entre soup
" Par les manipulations assumées et quasiment hitchcockiennes de la mise en scène (...) Farhadi signe un film à la
Ciné Phil au sujet de
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