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À la mort de son père, un jeune chef japonais part à Singapour pour renouer avec ses origines, avec la gastronomie locale qui a bercé son enfance.
Masato, jeune chef de Ramen au Japon, a toujours rêvé de partir à Singapour pour retrouver le goût des plats que lui cuisinait sa mère quand il était enfant. Alors qu’il entreprend le voyage culinaire d’une vie, il découvre des secrets familiaux profondément enfouis. Trouvera-t-il la recette pour réconcilier les souvenirs du passé ?
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" Tout en demi-teintes, en sentiments esquissés, "La Saveur des ramen" laisse entendre une petite musique comme dans d
" Tout en demi-teintes, en sentiments esquissés, "La Saveur des ramen" laisse entendre une petite musique comme dans de nombreux films d'Eric Khoo. Ce dernier est non seulement un des cinéastes les plus attachants de Singapour, un de ceux qui ont reconstruit littéralement le cinéma singapourien qui avait sombré à la fin des années 1990, mais aussi un cinéaste appréciable pour sa grande sensibilité dans l’expression d’une identité singapourienne dont il entend conserver les traditions notamment culinaires. "
Hubert Niogret" N’importe qui ayant eu une grand-mère ne serait-ce qu’un peu portée sur la marmite sait que les émot
" N’importe qui ayant eu une grand-mère ne serait-ce qu’un peu portée sur la marmite sait que les émotions ne se transmettent pas tant avec les mots que par la capacité de l’autre à finir ou non une assiette qui a été remplie déjà trois fois. Présenté à l’occasion du dernier Festival de Berlin, La Saveur des ramen suit Masato, un jeune chef au Japon, spécialisé dans ce type de bouillon populaire. À la mort de son père, il part à Singapour redécouvrir le goût des plats que lui cuisinait sa mère quand il était enfant, en particulier du bak kut teh, soupe peu chère et prisée localement. Mais ce voyage culinaire sera aussi l’occasion de retrouver une famille déchirée par le souvenir de la guerre et les regrets. Laissant un peu de côté les films choraux auxquels il a habitué le public, le singapourien Eric Khoo réveille cependant sa fascination pour le Japon, déjà évoquée dans Mee Pok Man et Tatsumi. À travers l’histoire de Masato, il raconte celle du métissage, de sa richesse et de sa bipolarité latente, de la transmission du savoir et du pardon. Mais avec pour langage commun celui de la nourriture. Si l’on pense évidemment à Tampopo ou aux Délices de Tokyo pour cette célébration de la gastronomie, La saveur des ramen considère, lui, ses nombreux plans de mets, à l’instar du chinois et de son écriture, comme des idéogrammes permettant de déchiffrer un puzzle familial de sentiments enfouis. Et devinez quoi? L’amour est l’ingrédient secret. Attention, cette oeuvre attise autant les glandes salivaires que lacrymales. "
Perrine Quennesson"Plaisirs de gourmets et émotion douce-amère, voilà la recette de ce film simple et attachant, mais non exempt de
"Plaisirs de gourmets et émotion douce-amère, voilà la recette de ce film simple et attachant, mais non exempt de cruauté : les épisodes relatifs à la Seconde Guerre mondiale et à la violence exercée par l’occupant japonais sur la population de Singapour se révèlent poignants. Sur la spécificité culturelle de ces deux pays, sur leurs liens tendus ou étroits, le film est instructif et sensible, chacun des personnages apportant une pièce au puzzle familial que reconstitue peu à peu Masato. On regrette que la musique soit parfois un peu envahissante. Pour le reste, tant dans la préparation en cuisine que dans la dégustation autour de la table, les mets sont décrits et célébrés comme un langage à part entière, un moyen de découverte, de partage et de réconciliation. On goûte et on commente toutes sortes de saveurs, celle des ramen mais aussi du chili de crabe ou du bak kut teh, soupe très populaire de Singapour. Le tout ouvre grand l’appétit."
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