Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent
A Lyon, dans le quartier Saint-Paul, un paisible horloger apprend, stupéfait, que la police recherche son fils accusé de meurtre.
A Lyon, dans le quartier Saint-Paul, un paisible horloger apprend, stupéfait, que la police recherche son fils accusé du meurtre d'un vigile. C'est l'occasion pour lui d'interroger sa vie, de chercher à comprendre cet enfant dont il s'est si peu occupé et qu'il connait si mal. Une quête intime et politique dont il ressortira profondément transformé.
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
" (...) Tout est dit sans emphase. Montré plutôt que dit. Cette forte méditation sur la paternité, Bertrand
" (...) Tout est dit sans emphase. Montré plutôt que dit. Cette forte méditation sur la paternité, Bertrand Tavernier, fils de récrivain René Tavernier, la poursuit avec une émotion profondément ressentie et par là communicative. Il y ajoute une touche purement personnelle : en ouverture, il place sa propre fille, la petite Tiffany. Ce n’est pas clin d’oeil ; voilà Bertrand père à son tour — en même temps que, par un raffinement très hitchcockien, il fait de l’innocente fillette le premier témoin silencieux du drame.
Mérite remarquable pour un premier long métrage : l’auteur ne se croit pas obligé de faire les pieds au mur. Bertrand Tavernier a trop réfléchi sur le cinéma américain pour ne pas s’en inspirer. Rapidité et vigueur du récit, sens du rythme, goût pour les scènes fortes et les personnages solides, précise direction d’acteurs. Les comédiens sont tous excellents. Au premier rang, Rochefort, en commissaire inquiet donc sympathique (presque), et Noiret, magnifique. Horloger-père, il bouleverse. Le visage nu. La douleur visible.
J’ai regretté un moment que le fils ne demeure pas l'Arlésienne de l’histoire ; que le père ne construise pas entièrement son image autour de cette torturante absence. Et puis non. Cela nous aurait privés d’échanges, entre père et fils, de regards inoubliables, et d’un dialogue, en fin de drame, à travers grillage de prison, où, en dépit de la distance (grâce à cette distance, grâce à ce grillage), père et fils se parlent enfin. Ce qui nous vaut le dernier plan de Noiret : frappé par le châtiment de son fils, il sourit pourtant dans le soleil"
" L'horloger de Saint-Paul qui a valu à son réalisateur Bertrand Tavenier, 32 ans, le prix Louis-Delluc, v&eacu
" L'horloger de Saint-Paul qui a valu à son réalisateur Bertrand Tavenier, 32 ans, le prix Louis-Delluc, véritable Goncourt du cinéma, est un film qui traite de la difficulté des rapports humains dans la société actuelle, et plus spécialement de la difficulté de commun (...)
On ne dira jamais assez que la réussite d’un film est due au travail de toute une équipe. Peut-être est-ce plus évident dans cette première œuvre de Bertrand Tavernier qui ne peut que se louer — et il ne manque aucune occasion de le manifester — de ses coadaptateurs-dîaloguisfës, Jean Aurenche et Pierre Bost, aussi bien que du directeur de la photographie, Pierre-Wïlly Glenn, ou de son chef machiniste, Albert Bonomi"
"Le récit a la solidité, la carrure, de Philippe Noiret, qui interprète le rôle de l'horloger avec une a
"Le récit a la solidité, la carrure, de Philippe Noiret, qui interprète le rôle de l'horloger avec une autorité magistrale. Pour un premier film, Bertrand Tavernier fait preuve d'une étonnante sûreté dans sa mise en scène. Le cheminement de l'analyse psychologique va de pair avec l'évocation de l'atmosphère lyonnaise et d'un milieu social où certaines tendances politiques apparaissent en filigrane. C'est net, rigoureux, sans chichis, et, quand l'émotion perce, la pudeur aussitôt intervient, comme il sied à Lyon."
Jean De Baroncelli, 19/01/1974"Un beau film. Sobre, pudique, fort, étonnamment juste. Un film riche, aussi. Un père et son fils, sans drames ni m&eacu
"Un beau film. Sobre, pudique, fort, étonnamment juste. Un film riche, aussi. Un père et son fils, sans drames ni mélodrames. Mais aussi la France d'aujourd'hui, ses élections sans surprises, ses usines-prisons gardées par des miliciens armés, ses jeunes muets et révoltés, ses petits bourgeois vissés devant leurs télévisions..."
Ciné Phil au sujet de
Nos offres d'abonnement
BASIQUE ETUDIANTS
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 4,99€ /mois
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE ETUDIANTS
49 | ,99€ |
/an |
Sur présentation d'un justificatif(2)
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
Vous devrez fournir un justificatif de scolarité (carte étudiante ou certificat, en .pdf ou .jpg).
UniversCiné se réserve le droit d'annuler l'abonnement sans possibilité de remboursement si la pièce
jointe envoyée n'est pas conforme.
Offre valable 12 mois à partir de la date de l'abonnement
_TITLE