Félix laisse à un clochard le dernier objet qui lui restait de son père. Un manteau. Mais à peine a-t-il quitté le S.D.F. que son téléphone sonne. C'est justement son père qui l'appelle de l'au-delà et l'enjoint de récupérer le vêtement coûte que coûte. Les factures de téléphone lui apprennent qu'il n'a pas rêvé. Téléguidé par l'impérieuse voix, Félix sombre bientôt dans le chaos le plus complet. Un jour, adieu femme, travail, maison, le pauvre ère se retrouve désormais face à lui-même...
"Il ne faut pas manquer ce nouveau rendez-vous avec Arthur Joffé, l'auteur d'une imagination singulière, d'une originalité et d'une richesse uniques dans le paysage français de la comédie."
Marie-Noëlle Tranchant
Le Monde
"Une comédie sur la nécessité du dialogue père-fils semée de belles scènes drôles et amères, qui fait tomber le film dans la farce grâce à u...
"Une comédie sur la nécessité du dialogue père-fils semée de belles scènes drôles et amères, qui fait tomber le film dans la farce grâce à un Michel Serrault tonitruant et un époustouflant Sergio Castellitto."
Jean-Luc Douin
Le Parisien
"Il faut se laisser porter par ce conte drôle et émouvant. Les acteurs sont tous formidables. Du cinéma qui fait du bien, ni plus ni moins."
" Impossible de quitter Ne quittez pas !, un film qui reste en soi tel un souvenir personnel. Le réalisateur Arthur Joffé a réussi un film unique, atypique, une comédie très drôle qui ne ressemble à rien de ce que l'on a vu ou entendu, une oeuvre subversive sur le sujet de la mémoire et de la filiation."
Eliette Abécassis
Les Inrockuptibles
" Comment conserver le lien avec “nos chers disparus” et, par extension, comment garder présente la question de la Shoah (le père défunt du...
" Comment conserver le lien avec “nos chers disparus” et, par extension, comment garder présente la question de la Shoah (le père défunt du héros étant juif) ? Sujet battu, rebattu et sur-rebattu, qui acquiert un peu de fraîcheur grâce à la stylisation et au ton farcesque du film renouant de loin en loin et Castellitto, sorte de fils spirituel de Mastroianni, n’y est pas pour rien avec la comédie à l’italienne (...)
Joffé retrouve par bribes quelque chose de la folie fellinienne. (...) Cette manière d’utiliser la comédie comme accélérateur de concepts, synthétiseur de souffrance (la Shoah), ne manque pas de sel."
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