Des travailleurs africains expatriés parlent de la vie quotidienne et du racisme sur les marchés du travail et du logement à Paris dans les années 1970. Ce court métrage révèle les possibilités pour le cinéma de parler de l’état postcolonial du monde.
Mari est nommée gestionnaire d’un foyer de jeunes ouvrières. Son mari ne voit pas d’un bon œil sa nouvelle vie indépendante. Juli, défiant toutes les règles, fuit János, son mari ivrogne, et s’installe au foyer avec son enfant.
Bernard Rougerie, cinéaste déjà célèbre, loue après bien des déboires un appartement dans une de ces cités H.L.M de luxe… Il est invité par ses voisins à participer à une réunion de locataires, bientôt pris dans leurs revendications légitimes.
Gérard, Jean-Guy, Phil et Jean se retrouvent du jour au lendemain sans travail. Très vite, ils trouvent une occupation : les quatre amis ont décidé d'aider un petit commerçant à faire face à la concurrence d'une grande surface...
Portrait d'un militant de gauche assassiné dans une embuscade policière. Ce film fait un an après sa mort, retrace à travers le témoignage de ses camarades de lutte et de ses amis, la vie et l’histoire politique de Carlos Marighela.
Une interview du président chilien Salvador Allende, après son élection en 1971, par Régis Debray.
Ce film, réalisé par Bruno Muel avec les ouvriers du groupe Medvedkine de Sochaux raconte le tournant post-68 de la reprise en main néo-libérale et témoigne aussi de la lutte syndicale face à Peugeot.
Le discours autocritique de Fidel Castro, le 26 juillet 1970, précédé de l'analyse de cette année historique pour Cuba. C’est dans ce contexte que Chris Marker réalise ce documentaire historique sur cette bataille économique lancée par le Leader Maximo.
“Un éditeur, ça se définit par son catalogue”. Dans ce film, François Maspéro, Fanchita Maspéro et leurs collaborateurs, parlent de leur maison d’édition, des livres qu’ils fabriquent et de la manière dont ils conçoivent leur travail.
Préface du BONHEUR de Alexandre Medvedkine, l’expérience du ciné-train d’Alexandre Medvedkine qui roula durant 294 jours, filmant les problèmes de la révolution russe et du développement économique de 1930.
Les jeunes français immigrés à Sochaux démontent le mécanisme de l’exploitation dans leur vie quotidienne telle qu’elle a été pensée par Peugeot.
Compte-rendu à chaud des journées qui ont suivi le coup d’état du général Pinochet. A Santiago la peur se lit sur les visages. Des militants de l’Unité Populaire osent cependant parler, ébauchent des explications, font part au monde de leur détermination.
11 juin 68. Après 22 jours de grève, la police investit les usines Peugeot à Sochaux : deux morts, cent cinquante blessés. Des témoins racontent.
Un film écrit, joué et rêvé par le groupe Medvedkine de Sochaux, composé de jeunes ouvriers travaillant à la chaîne aux usines Peugeot et de techniciens du cinéma.
Cinq ans après mai 68, les ouvriers de Lip se lancent dans une folle entreprise d’autogestion qui a un retentissement immédiat.
Poème de Jean-Pierre Thiébaud, illustré par ses photos
Où le ruban d’une autoroute se met à enregistrer les pensées.
#7 Dans le sud des États-Unis, en 1840. À la tête d'une plantation, le vieux et riche Maxwell, souhaitant perpétuer la dynastie, oblige son fils Hammond à se marier avec sa cousine Blanche. Mais Hammond la délaisse lorsqu'il apprend qu'elle n'est plus vierge. Parallèlement, les esclaves de la plantation fomentent une révolte.
Roberto Rossellini interviewe le président chilien Salvador Allende, s'intéresse à sa conception du marxisme depuis une position démocratique, aux problèmes de développement du continent ibérico-américain et aux relations qu’entretient son gouvernement avec les Etats-Unis.
Issu d'une famille de paysans pauvres, Metello est un jeune ouvrier florentin de la fin du XIXè siècle. Alors qu'il fait son éducation sentimentale, il prend conscience de sa condition de prolétaire jusqu'à devenir un syndicaliste de premier rang et prendre la tête de la grande grève de 1902.
Dans le Japon au début des années 70, la population agricole désireuse de préserver ses traditions s’élève face à l’industrialisation à outrance et à la politique agressive d'expansion du gouvernement. L’inquiétude grandit devant l’expropriation de populations entières dans le seul but de construire l’immense complexe industriel nommé Kashima Paradise et l’aéroport international de Narita.
Dans un oratoire du XIIe siècle désaffecté, un copiste dépose des partitions sur des pupitres de musiciens. Une répétition d'orchestre va avoir lieu. Les participants arrivent et s'installent. Une équipe de télévision doit faire un reportage, mais on n'entendra que la voix de l'interviewer. Le chef d'orchestre commence la répétition. Il est nerveux, hautain, cassant...
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