Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes et les questionne. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes # En parallèle de ce documentaire (ici, la version sortie en salles, 2h), vous retrouverez en vod sur Universciné la version intégrale en 3 épisodes (1h20, 1h10, 1h14)
Ce documentaire suit le quotidien de Jon, éleveur de rennes au dessus du cercle polaire. Corto Fajal suit un nomadisme étonnant où la vie traditionnelle et moderne se côtoient en permanence. Au-delà du portrait d'une vie en pleine nature, le film dépeint cette quête d'équilibre entre progrès technologiques et savoirs millénaires, et dont le sens et l’humilité nous interpellent aussi.
Ils sont collégiens, âgés de 11 à 15 ans, réunis dans une même classe d’accueil pour apprendre le français. Dans ce petit théâtre s’expriment l’innocence, l’énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettent en cause beaucoup d’idées reçues sur la jeunesse et l’intégration.
À la découverte des peuples autochtones africains, leurs traditions, leurs mœurs, leurs modes de vie. Tous vivent hors du temps et de l’occidentalisation. Tous préservent les coutumes de leurs ancêtres, et protègent leur univers de la mondialisation.
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
La bonne humeur - el gusto - caractérise la musique populaire inventée au milieu des années 1920 au cœur de la Casbah d’Alger par le grand musicien de l’époque, El Anka. Elle rythme l’enfance de ses jeunes élèves du Conservatoire, arabes ou juifs. L’amitié et leur amour commun pour cette musique les rassemblent pendant des années au sein du même orchestre jusqu’à la guerre et ses bouleversements.
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