Suraj Baba est un sâdhu, un saint homme hindou. Il a renoncé aux biens terrestres en se retirant vivre dans une grotte à 3000 mètres au cœur de l’Himalaya. Après huit ans d’isolement et de méditations, il prend le risque de s’exposer à nouveau au monde.
Deux mini-dépressions de bonheur, plus l’attente de la troisième, suffisent à un cinéaste pour croire en une certaine beauté de la vie, ce qui entraîne un plaisir de la filmer. Tout est filmé sans hiérarchie, sans préférence : humains, arbres, dieux, maisons, jouets, légendes… à condition que l’amour veille.
Un territoire, l’Auvergne. Une ligne d’espace qui court de Vercingétorix à la mondialisation. Un personnage, ancien communiste, qui s’appelle Pierre Juquin. Des rencontres avec des gens qui pensent, agissent et sont. Des situations qui parlent République, religion, capitalisme et guerre. Un portrait en structure mosaïque qui suggère comme un état des lieux.
À la découverte des peuples autochtones africains, leurs traditions, leurs mœurs, leurs modes de vie. Tous vivent hors du temps et de l’occidentalisation. Tous préservent les coutumes de leurs ancêtres, et protègent leur univers de la mondialisation.
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