En 1832, dans une Provence ravagée par le choléra, un patriote italien, traqué par des tueurs autrichiens, et une jeune aristocrate apprennent à s'aimer.
Gérard, homme profondément égocentrique et instable, aime pourtant passionnément son fils Antoine. Mais depuis que Sophie son épouse, lassée par son comportement et ses maitresses, l’a plus ou moins mis à la porte, Gérard à peur de perdre son fils.
Jérôme passe la journée devant la télévision, tandis que Nelly subvient à leurs besoins grâce à de petits travaux de dactylographie. Dans un café, la jeune femme lie conversation avec un homme âgé et fortuné. Apprenant les difficultés financières de Nelly, il insiste pour qu'elle accepte un chèque afin de régler ses dettes, puis lui propose de taper le manuscrit de ses mémoires.
Accoudée au buffet d'une gare, Sophie se laisse aborder par deux militaires rouleurs de mécaniques. Ainsi escortée, elle débarque, tel un ouragan, dans l'hôtel où travaille Vincent, son amant de toujours. Dès lors, tout recommence : le tourbillon des sentiments, les déchirements, avec, pour seul credo, l'envie de vivre pleinement sa passion. Ce retour est leur dernière chance.
Pas d'homme à la maison. Mais une mère et sa fille. La force des liens, la peur de se séparer. Dans son premier long-métrage, Emmanuelle Cuau ("Très bien, merci") observe avec délicatesse l'obsession et la folie, frontières floues au bord de l'amour.
Un soir, Clara décide d'aller chercher à l'aéroport son mari qui revient d'un voyage d'affaires. Il n'est pas là... En appelant son hôtel, elle comprend qu'il est avec une autre femme. En un instant sa vie bascule.
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