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L’arrivée de Toto le marcassin chez Madeleine, le voyage de Vincent en Inde et ses démêlés avec les singes, ou les rêves de Joseph provoqués par la machine à pression continue. Trois histoires que va partager Pierre et qui convoquent d’une manière ou d’une autre notre rapport à l’animal, à cet autre prochain... Le film a reçu deux prix au FID de Marseille, en 2017.
Un film poème en 18 vagues, comme autant de scènes pour décrire Paris et ses paysages urbains traversés par un "jeune mineur étranger isolé", les attentats, les roses blanches, l'état d'urgence, le bleu-blanc-rouge, l'océan atlantique et ses traversées, les volcans, la beat-box, la révolte, la colère, la violence d’État, un chant révolutionnaire, le silence, et la joie… Rien que la joie.
Promeneurs et travailleurs des terrils du Nord de la France et des falaises de craie d'Angleterre parcourent un paysage friable. Le noir et blanc 16 mm et le travail sonore naviguent de lanière ludique entre mémoire sociale, onirisme et abstraction.
Le musicien Franco Melis, sonneur de launeddas (clarinette polyphonique sarde), est filmé dans des lieux liés à la pratique de son instrument et de sa transmission, en des plans qui épousent rythmiquement les phrases musicales des sonates. En compétition internationale dans la section "Courts-métrages", au Cinéma du réel 2018.
Une exploration des manières de vivre ensemble, de l'intime au collectif, de l'un au multiple et les moyens de maintenir des liens avec les disparus. En compétition internationale, dans la section "Premiers films", au Cinéma du réel 2018.
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