C’est l’hiver en Franche-Comté. Sami est interné en centre psychiatrique. Un jour de visite, sa mère et sa petite sœur lui apprennent que leur cheval est mort.
Nora, adolescente martiniquaise de quinze ans, est contrainte de suivre sa mère Laure et sa petite sœur Mélissa dans le nord de l’île pour vivre quelque temps chez Henri, son grand-père, paralysé depuis un AVC.
Bernard, austère, ne vit que pour prendre soin de Line, sa conjointe gravement touchée par une maladie dégénérative. La partie de sucre familiale organisée par leur fils le force à renouer avec l’ivresse du printemps.
Alors qu’il est malade d’un cancer, mon père m’annonce qu’il s’est programmé sa mort depuis longtemps. Voix et photographies s’entrechoquent pour essayer de faire sens. Une vision intime du deuil, une lettre adressée à un père décédé. Par la réalisatrice de "Les équilibristes" et "Lame de fond". Prix Qualité du Centre National du cinéma (2012).
Roberto, le canari de Max et Cléo, vient de mourir : c’est le petit Max qui l’annonce à ses parents, un matin de vacances. L'équilibre déjà fragile de la petite famille se détériore suite à cette mort soudaine...
Une famille doit faire face aux frasques de Francis, le patriarche, qui est devenu ingérable depuis qu'il se sait condamné. Samuel et sa sœur doivent donc trouver une manière de l'accompagner coûte que coûte.
Perturbée par la maladie de sa mère qui s'aggrave de jour en jour, Milène quitte Paris et se réfugie dans une ferme auvergnate pour préparer le concours de l'ENA. Mais l'automne arrive et le temps est compté...
À Brignogan-Plages, Zoé, 30 ans, travaille au bar Les Bigorneaux, avec son père, Guy. Tantôt serveuse, barman, patronne, elle s'épuise à tout prendre en charge, épaulant Guy depuis la mort prématurée de sa mère. Un matin, Zoé se met à souffrir de vertiges et de nausées qui perturbent son quotidien. Elle craint d’être tombée enceinte, mais sa gynéco lui apprend qu’elle souffre d’un tout autre mal.
Une vieille dame, souffrant du syndrome de l’écureuil, accumule chez elle des cartons remplis de souvenirs. Elle vit avec une colonie de blattes qui sont devenues ses amies. Sa petite-fille, qui lui est très attachée, lui rend visite tous les mercredis. Sa grand-mère invente, avec ces trésors accumulés, de merveilleux récits.
Miguel veille sur sa sœur Clara, jeune fille à la santé fragile. Ils partagent une grande intimité et jouent constamment ensemble. Un jour, la jeune fille lui fait une requête à laquelle il ne peut accéder lui-même. Voyant la santé de sa sœur décliner, Miguel part à la recherche d'un jeune homme pouvant exaucer son souhait.
L’œil du chien dresse le portrait de la réalisatrice et de sa grand-mère. Voyant la maladie manger le visage de celle qui l'a élevée, Laure Portier la filme, se préparant à la voir disparaître. Pour se préparer à l'inévitable, toutes deux tentent de renforcer leurs liens, dans une tendresse partagée.
Fatma et sa mère sont réfugiées kurdes en Italie. Lors d’une consultation médicale, Fatma doit traduire ce que le médecin dit à sa mère, mais la jeune fille garde le silence... Un film nommé pour la palme d'or du meilleur court-métrage au festival de Cannes 2016.
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