Accompagné d'un commentaire écrit par Joseph Kessel et composé d’archives, souvent inédites, le film retrace l’histoire conflictuelle du « fait israélien » : l’implantation des premiers colons sionistes en Palestine au début du siècle, « le foyer national juif » au lendemain de la guerre 14-18, la création de l’État d’Israël en 1948 et les guerres israélo-arabes de 1948, 1956 et 1967...
Le réalisateur et son ami palestinien d’Israël entreprennent un voyage vers leurs histoires respectives. Le Moyen-Orient d'antan refait surface et présent s'invente dans lequel les communautés ne sont pas séparées par des frontières ethniques et religieuses...
Journal intime du cinéaste, réflexion sur la guerre et sur la transmission. Eléments autobiographiques, fictifs, archives personnelles et notamment de la correspondance de la mère du cinéaste. C'est un film ? "C’est un poème sur les gens. Ce qu'ils croient et ce qu'ils veulent. Et ce qu'ils croient vouloir. " écrivait Nathan Zach dans un poème qui pourrait, peut-être, définir ainsi cet essai filmé
Yaron va bientôt être papa. Vouant un culte au corps et à la camaraderie masculine, il est policier d’élite israélien dans une unité anti-terroriste confrontée à une prise d'otages. Entre «l’ennemi arabe» et un groupe d'extrémistes Juifs, Yaron se trouve pris dans un faisceau de contradictions, dont il fait lui même partie. Un film fort et radical, Prix spécial du jury au Festival de Locarno 2011.
Beer Sheva, au sud d'Israël. Trois adolescents d'origines et de confessions religieuses différentes, vivent dans le quartier le plus défavorisé de la ville. Recrutés pour participer à la coupe de foot des jeunes, ils vont se rencontrer autour de Vasermil, le mythique stade de la ville.
Après «Pourquoi Israël» et «Shoah», Claude Lanzmann nous fait plonger au coeur de Tsahal. Militaires jeunes et moins jeunes racontent leur passé et leurs itinéraires. Avec un mot d'ordre: attaquer pour vaincre la peur et gagner. Des dynasties militaires s'esquissent. Les témoignages dévoilent peu à peu le lien étroit entre la société civile et l'armée. César 1995 du meilleur documentaire.
Après «Pourquoi Israël» et «Shoah», Claude Lanzmann nous fait plonger au coeur de Tsahal. Militaires jeunes et moins jeunes racontent leur passé et leurs itinéraires. Avec un mot d'ordre: attaquer pour vaincre la peur et gagner. Des dynasties militaires s'esquissent. Les témoignages dévoilent peu à peu le lien étroit entre la société civile et l'armée. César 1995 du meilleur documentaire.
Après «Pourquoi Israël» et «Shoah», Claude Lanzmann nous fait plonger au coeur de Tsahal. Militaires jeunes et moins jeunes racontent leur passé et leurs itinéraires. Avec un mot d'ordre: attaquer pour vaincre la peur et gagner. Des dynasties militaires s'esquissent. Les témoignages dévoilent peu à peu le lien étroit entre la société civile et l'armée. César 1995 du meilleur documentaire.
Situé au coeur de Jaffa, le garage de Reuven est une affaire familiale. Il y emploie sa fille Mali et son fils Meir, ainsi que Toufik et Hassan, un jeune palestinien et son père. Personne ne se doute que Mali et Toufik s'aiment depuis des années. Alors que les deux amants préparent en secret leur mariage, la tension monte entre Meir et Toufik.
Dans le quartier d'Ajami, à Jaffa, cohabitent les trois religions. L'oncle d'Omar, Arabe israëlien, a tiré sur un membre important d’une autre famille et le jeune homme voudrait réparer ce drame...
En affirmant sa double culture juive et arabe, Simone Bitton propose une méditation cinématographique sur le conflit israélo-palestinien. Sur le chantier aberrant du mur, les mots du quotidien et les chants du sacré, en hébreu et en arabe, résistent aux discours de la guerre et se fraient un chemin dans le fracas des foreuses et des bulldozers.
Un enfant noir dans la tourmente. Chrétien, le voilà, pour échapper à la famine de l'Afrique, déclaré juif et rejoignant Israël dans une famille adoptive. Il doit maintenant grandir dans le mensonge, subir de nouveaux racismes et assumer une nouvelle identité.
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