Claude Lanzmann se rend à Pyongyang où, en 1958, il s'était rendu au sein d'une délégation d'Europe de l'Ouest, invitée après la guerre de Corée. Il y avait rencontré une infirmière coréenne. Le seul mot que tous les deux connaissaient était : Napalm.
Dès les premières semaines de l'invasion russe, le réalisateur Maciek Hamela entreprend de sillonner les routes d'Ukraine à bord d'un minivan pour aider les civils à fuir leur pays en guerre et à rejoindre la Pologne.
En 2014, un photographe syrien, officiant dans la police militaire à Damas, parvient à exfiltrer des photos de victimes du régime de Bachar el-Assad. Il a accumulé tout ce qu'il a pu avant de divulguer ses preuves qui permettent d'aider les familles.
Après "Pourquoi l'Ukraine", Bernard-Henri Lévy poursuit la lecture de son journal de bord où il consigne les moindres détails du conflit avec ce second opus qui s'attarde sur les événements qui se sont produits au cours du second semestre de cette guerre.
Sur la ligne de front du Donbass, les soldats du 30ème bataillon de l’armée ukrainienne affrontent des séparatistes soutenus par la Russie. Le réalisateur Loup Bureau nous plonge dans cette expérience de guerre à hauteur d’hommes et au cœur des tranchées.
Acteurs, victimes et négociateurs de la paix nous plongent dans l’histoire d’un peuple qui, face aux violences à l’œuvre, a su inventer une nouvelle voie et agir sur sa propre destinée.
Suite à la révolution syrienne, le régime de Bachar Al-Assad assiège le quartier de Yarmouk, plus grand camp de réfugiés palestiniens au monde. Yarmouk se retrouve alors isolé et le réalisateur témoigne des privations quotidiennes...
Une écrivaine française traverse l’Irak et la Syrie pour venir à la rencontre de Leila Mustapha, la maire de Raqqa, ville en ruine après la guerre. Dans cette ville encore dangereuse, elle a 9 jours pour vivre avec Leila et découvrir son histoire...
Durant la première guerre du Golfe, les troupes françaises, dirigées par le général Michel Roquejeoffre, interviennent aux côtés de la coalition internationale pour secourir le Koweït attaqué par l'Irak de Saddam Hussein...
Sri Lanka, 1983, Jude Ratnam a cinq ans. Il fuit à bord d’un train rouge les massacres perpétrés contre les Tamouls par une partie de la population cinghalaise, avec la complicité des autorités. Aujourd’hui, réalisateur, Jude parcourt à nouveau son pays du sud au nord. Face à lui défilent les traces de 26 ans d’une guerre fratricide...
Une jeune femme vient chercher à l'aéroport de Roissy une cantine militaire qui lui est retournée. Il s'agit des effets et clichés de Jean Péraud, reporter photographe disparu à Dien Bien Phu le 8 mai 1954. La discussion s'engage entre la jeune femme et les anciens compagnons de presse de Péraud, qui sont également présents, autour de ce qu'implique le métier de reporter de guerre.
Beyrouth, Sarajevo, Bagdad… : les « hôtels de guerre » pour journalistes internationaux sont les prismes de notre représentation des conflits. Ces « bunkers » qui abritent la presse internationale prennent une importance stratégique, ne serait-ce que parce qu’observer la guerre implique de s’en protéger.
Entre 1954 et 1962, près de trois millions de jeunes Français, appelés ou rappelés, ont fait une guerre qui ne voulait pas dire son nom. Trente ans après, ceux qui n'ont jamais parlé racontent. La caméra de Bertrand Tavernier vient saisir, un à un, le vécu de ces appelés de la Guerre d'Algérie. Tous sont issus de Grenoble, mais chacun a une histoire différente.
A la veille de la 2nd Guerre Mondiale, 20 000 Vietnamiens étaient recrutés de force dans l’Indochine française pour venir suppléer dans les usines d’armement les ouvriers français partis sur le front allemand. Bloqués en France après la défaite, livrés à la merci des occupants allemands et des patrons collabos, ces ouvriers civils appelés Công Binh menaient une vie de parias sous l’Occupation.
Beyrouth est une ville formidable. On se croirait au centre de tout. À Beyrouth, entre 1975 et 1990, il y avait une guerre civile, c'est-à-dire tout le monde voulait exterminer tout le monde. Aujourd'hui, la guerre est finie. Elle s'est arrêtée, comme ça, après avoir gangrené nos vies. J'ai voulu filmer le vide qu'elle a laissé. Sa présence fantomatique. Cette plaie...
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