Esma est une jeune danseuse de cabaret en quête de liberté. Hantirah, un jeune syrien futur médecin et promis à un avenir tracé par ses parents, est tiraillé entre son amour pour elle et son engagement envers sa fiancée, étudiante en médecine comme lui.
Le bac en poche, Julien a quitté sa ville natale pour se construire une vie plus grande à la capitale, laissant ses souvenirs derrière lui. Et puis un jour, il faut revenir, et ce jour-là ses souvenirs lui sautent au visage, entre deux paquets de Pépitos.
Le petit Rui se débat avec les amertumes de la vie dans une colonie de vacances. Heureusement, dans la forêt, les dahus persistent à ne pas se montrer.
Cinq amis se retrouvent sur Skype, à l'initiative d'une sixième. Peu à peu, on découvre ce qui les lie : le souvenir de "Parlez-moi d'amour", une soirée slam organisée par une certaine Clémence, et au cours de laquelle chacun avait fini par se livrer.
Lorsque les êtres qui habitent le ciel viennent contaminer ceux de la terre, l’ordre du monde est bouleversé. C’est le début d’une chute tragique de laquelle naîtront les enfers et, à l’opposé, les cercles du paradis.
500 ans après l'épidémie dansante qui s'était emparée de Strasbourg au XVIème siècle, le réalisateur britannique Jonathan Glazer filme des danseurs durant la période de confinement de la pandémie du Covid-19.
Thee Wreckers Tetralogy réunit 4 courts métrages de Rosto, artiste, réalisateur et illustrateur néerlandais décédé en mars 2019. Thee Wreckers, son groupe virtuel, est au centre de ce trip musical résolument Rock, convoquant l’esprit des artistes, à la fois jeunes, vieux, morts et éternels.
Imaginez un monde où un orchestre de tout petits musiciens vous suivrait partout et jouerait la bande originale de votre vie – exprimant vos émotions, vos peurs et vos espoirs. Dans ce monde vit Ederly Vernon, un homme solitaire dont la timidité maladive pousse son petit orchestre à jouer terriblement faux…
Un jeune guitariste tente sa chance dans un vieux bar de blues de Louisiane. Il évoque la légende de Blind Boogie Jones, dans la Nouvelle-Orléans des années 1920. Une histoire d'amour et de vengeance.
Eliette, une petite fille de huit ans, vit dans un pays où le roi a interdit la musique. Elle se lie d'amitié avec un troubadour, pour libérer son peuple.
Une journée dans la vie de John, batteur de jazz américain, en attendant le concert du soir, à Paris le 2 novembre. Réalisé dans le cadre de l'école de cinéma La Fémis, "Does It Make A Sound" est l'un des premiers courts métrages de Sacha Wolff, le réalisateur de "Mercenaire".
Cette symphonie urbaine miniature commandée par les Archives du Film de Chicago et mise en musique par le jazzman Phil Cohran entrelace des extraits de trente films différents, restituant le pouls de la métropole verticale. Sélectionné au festival Cinéma du réel 2016.
Six films courts réalisés par Pere Portabella entre 1970 et 2010. S'y retrouvent son intérêt pour les arts et la politique mais encore son amitié ancienne avec Carles Santos, compositeur et auteur de nombreuses bandes-son du cinéma de Portabella. Le musicien est filmé ici à de nombreuses reprises en plein travail, derrière un piano ou la baguette à la main.
Juin 1993. Aki Kaurismaki filme un concert des Leningrad Cowboys, autoproclamés "groupe de rock le plus mauvais du monde" devant 70 000 personnes sur la place centrale de Helsinki ! Standards du rock, réorchestration de chants folkloriques en compagnie des chœurs de l'Armée rouge et second degré kitsch. Une captation suivie de 6 courts-métrages du réalisateur.
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