Jean-René, émigré et ancien ouvrier, raconte son histoire à sa fille. Son récit nous dévoile des rêves et des douleurs mystérieuses qui trouvent leurs racines dans les blessures de l'histoire coloniale française.
1981, Nicholas a 16 ans, comme tous les jeunes blancs Sud-Africains de son âge, il doit accomplir son service militaire pendant deux ans. Il découvre les horreurs de la guerre et le racisme du gouvernement sud-africain envers la communauté noire...
Ce film est une anthologie sur la colonisation africaine à la fin du 19e siècle. Il est découpé en cinq récits qui mettent en scène un roi perturbé, un pygmée travaillant dans un hôtel de luxe, un homme d'affaires ruiné, un porteur égaré et un jeune déserteur. Nommé aux Césars 2020 dans la catégorie meilleur court-métrage d'animation.
Dix ans après la fin de l’apartheid, une communauté de sud-africains noirs et blancs tente de vivre dans l’oubli des violents affrontements dont chacun porte encore en secret les blessures.
"Le colonialisme n'est pas une machine à penser, n'est pas un corps doué de raison. Il est la violence à l'état de nature et ne peut s'incliner que devant une plus grande violence." A partir des textes de Frantz Fanon et d'images d'archives tournées par le Suède, alors neutre, le film revient sur la décolonisation de l'Afrique et la lutte des peuples en général pour leur liberté.
Au massacre des Indiens d'Amérique succéda leur "assimiliation" par le gouvernement canadien, dans les années 60. Les enfants furent enlevés à leur famille et placés dans des pensionnats religieux ou des familles d'accueil. Sally, quarante ans après, revient parcourir en camping-car ces terres du Yukon où elle a grandi, coupée de ses racines... Un voyage aux souvenirs de ténèbres.
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