Mars 2020. Notre monde qu’on dit réel se vide alors de ce qui faisait sa substance et des formes de vies numériques se multiplient, à l’instar de ces couples dont les avatars partagent à distance une vie commune dans un univers virtuel.
Une réalisatrice canadienne rend visite à sa grand-mère en Russie après vingt-cinq ans de séparation. Ces retrouvailles révèlent l'influence d'événements historiques importants sur leur passé et l'importance de leur relation...
Sous la forme d'une conversation épistolaire filmée, deux jeunes cinéastes expérimentées discutent du cinéma, de la famille présente et passée, du patrimoine et de la maternité.
Jean-René, émigré et ancien ouvrier, raconte son histoire à sa fille. Son récit nous dévoile des rêves et des douleurs mystérieuses qui trouvent leurs racines dans les blessures de l'histoire coloniale française.
Un voyage dans la jeunesse et les souvenirs intimes d’une grand-mère illustre le statut des femmes slovènes pendant la première partie du vingtième siècle.
Elle aurait voulu être la Princesse de Monaco mais, après soixante dix-ans de mariage, le constat est amer. Dans la cuisine, Marie-Thérèse se rend compte que tout lui manque, sauf son mari.
Longtemps chassés, désormais stars de safaris, les ours sont devenus une attraction touristique et donc une rente considérable pour Churchill. La petite ville illustre alors singulièrement les liens complexes unissant notre monde moderne au monde sauvage.
Tonio débarque en Corse. Il se promène dans les paysages de l’île et sur les applications de rencontre où il fait la connaissance d’un utilisateur dénommé L’Oracle.
Dennis et Ibra vivent à Palerme sans savoir combien de temps ils pourront y rester. Quand Ibra disparaît, Dennis part à la recherche de son ami dans la ville, sous les regards des saints protecteurs.
Cette exploration filmique nous plonge dans un monde très lointain, où la mythologie basque se tisse dans des paysages intemporels, où coutumes et croyances convergent vers un rituel carnavalesque, symbole du cycle du temps.
« Je m’appelle Pierre Bolex, j’ai bientôt 41 ans. À l’école, lorsque nous étions petits, pour fêter le bicentenaire de la Révolution, on nous avait déguisé en révolutionnaires. Aujourd’hui nous sommes à l’âge adulte… ».
"J’ai rencontré Bruto, un crâne humain, sur le tournage d’un court-métrage. D’étranges rumeurs circulaient à son sujet. Il serait maudit... J’ai besoin de savoir qui il est, d’où il vient et ce qui lui est arrivé. Je me lance dans une enquête."
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