Des travailleurs, leurs machines, leurs tâches. La répétition de gestes quotidiens, la routine de la pause, de l'heure du déjeuner, de ces heures travaillées. Que peut-on établir comme dialogue absurde et abstrait entre l’homme et son besoin de travailler ? Peintres, menuisiers, nettoyeurs, ouvriers. Si leurs gestes sont répétitifs, les produits, eux, sont tout à fait concrets.
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