Indien et Cowboy ont brillamment réussi leurs examens scolaires. En récompense, Cheval leur a acheté des tickets VIP pour la foire agricole. Mais, après une mauvaise chute, Cheval reste amnésique et oublie où sont rangés les billets...
Cinq histoires à ritournelles qui nous invitent à ne pas nous croire les plus forts ni les plus malins, et à rester modestes. Un joli message de sagesse contenu dans des courts métrages poétiques et mélodieux.
En plein hiver, au pays du Yeti, un ours n’arrive pas à s’endormir. Un singe blanc lui propose d’aller manger du miel chez sa tante pour lui changer les idées. Une belle et étrange nuit d’hiver s’ouvre alors à eux...
Demain, Maysan a un rendez-vous administratif important pour sa famille. Mais Eli, son mari, a une question qu'elle n'est pas prête à entendre... Sélectionné au festival du court métrage de Clermont-Ferrand en 2020.
Un programme de courts métrages avec des films animés gores et horrifiques, carrément déconseillés aux enfants : "Animals" (2019), "Chicken of the Dead" (2019), "Deadman’s Reach" (2018), "Wild Love" (2018), "Catherine" (2016), "Best Friend" (2018), "La Nuit Je Danse avec la Mort" (2017), "La Gueule Ouverte" (2017), "Preston" (2016).
Ils roulent des mécaniques, s’imaginent régner sur tous les autres animaux, mais au fond, c’est bien connu : les loups ont tous un cœur d’artichaut. Six courts métrages pour découvrir toutes leurs facettes, dans une large palette de techniques d’animation !
Un programme de trois courts métrages : «Tout la haut» : Un girafon se perd et rencontre un écureuil acariâtre qui l'embête. - «Le dernier jour d'automne» : Une grande course se prépare avant l’arrivée de l’hiver ! - «Zibilla ou la vie zébrée» : Zibilla, jeune zèbre adoptée par des parents chevaux, subit des moqueries dans sa nouvelle école...
Comment faire face aux troubles de l’adolescence, au deuil d’un être cher, à la difficulté de se faire des amis, à l’histoire de sa famille ? Autant de questionnements sur l’identité que soulèvent les films qui composent ce programme de sept formats courts dans lesquels des cinéastes s’interrogent sur le monde qui les entourent et nous emmènent dans des formes narratives et graphiques audacieuses.
L’œil du chien dresse le portrait de la réalisatrice et de sa grand-mère. Voyant la maladie manger le visage de celle qui l'a élevée, Laure Portier la filme, se préparant à la voir disparaître. Pour se préparer à l'inévitable, toutes deux tentent de renforcer leurs liens, dans une tendresse partagée.
_TITLE