En 1977, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol, qui la rabaisse constamment. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…
Jean-René, patron d’une fabrique de chocolat, et Angélique, chocolatière, sont deux grands émotifs. C’est leur passion commune qui les rapproche. Ils tombent amoureux l’un de l’autre sans se l’avouer. Hélas, leur timidité tend à les éloigner. Mais ils surmonteront leur manque de confiance en eux, au risque de dévoiler leurs sentiments.
Henri, la quarantaine fatiguée, travaille comme maître chien dans une gare de province. Un jour, son patron lui explique qu’il va falloir se débarrasser de Milou, son vieux Rottweiler narcoleptique, son seul ami. Incapable de s’y résoudre, Henri trouve le réconfort auprès d’une bière et de Chantal, la serveuse du bistrot de la gare. Elle en pince pour Henri.
Au café du pont, les parents de Pierrot travaillent dur. Ils donnent tout pour ce lieu de vie convivial si important dans le village, et que les habitués honorent quotidiennement, même sous l'Occupation... La chronique d'une enfance heureuse, d'après la biographie de Pierre Perret.
"Pour être un baron, il faut être le moins actif possible, parce que chaque être humain naît avec un crédit de pas et que chaque pas use ton crédit. Le baron le plus ambitieux, c'est moi, Hassan. Mon rêve, c'est de faire rire. Mon père dit que c'est pas un métier. Mounir, il voudrait qu'on reste des barons à vie, ce qui colle pas avec mon but. Parce que pour réussir, il faut quitter le quartier."
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