Après avoir obtenu son diplôme de Maîtrise, Hugo passe ses journées à reposer son cerveau en compagnie de Luisa, la femme de ménage, avec laquelle il joue au chat et à la souris. Pour éviter que sa raison ne s'assoupisse, Hugo exerce sa veine lyrique en composant avec son ami Manuel des chansons sur leur quartier.
Charlotte est ingénieur du son. Sa mère est assassinée dans sa maison. Sur place, elle se rend compte qu'elle ne sait pas grand-chose de la vie que sa mère menait. En écoutant un enregistrement de craquements des murs qu'elle vient de réaliser, Charlotte découvre un phénomène étrange : les sons du passé se mêlent aux sons du présent. Charlotte va utiliser ces sons pour mener sa propre enquête.
Winnipeg, au Canada en 1933, au cœur de la Grande Dépression. Lady Port-Huntly, baronne locale de la bière, bien décidée à profiter de la fin proche de la Prohibition, lance le concours de la musique la plus triste du monde, car c’est bien connu plus les gens sont tristes plus ils boivent. Des candidats du monde entier affluent vers la ville enneigée et glaciale.
Francisco, comporte-toi bien ! Je sais que c'est ton anniversaire, que tu as 30 ans maintenant, que c'est le carnaval et que tu t'es déguisé en cow-boy pour la fête de l'école, que tu es entouré de gosses que tu hais... Mais ce n'est pas une raison pour tirer la gueule.
Sofia la sexologue qui n'a jamais connu l'orgasme, Severin la dominatrice, James et Jamie qui cherchent un troisième partenaire... Tous se croisent au Shortbus, lieu hors-normes où politique, art et sexe se mélangent.
Eté 1945 : le Japon est occupé. Le Soleil retrace les événements intervenus entre deux décisions historiques prises par l'empereur Hiro Hito : la reddition sans condition de son pays face aux Alliés et la renonciation à son ascendance divine. Le cinéaste russe Sokourov fait le portrait de ces heures historiques en esthète et philosophe de la condition humaine.
Carl et ses amis ont l'intention d'acheter un hôtel de luxe. Arrivé en éclaireur à “Belhorizon”, Carl découvre que ce n'est qu'une modeste pension de famille tenue par un couple d'immigrés espagnols. Un premier film belge tout en ruptures de ton, clin d'oeil à Bunuel et à son “Charme discret de la bourgeoisie”, renouant avec le "réalisme magique" cher à André Delvaux.
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