Marcelo évoque ses vies passées. Celles où il était Gengis Kahn, une courtisane française, ou encore, Novalis, poète allemand à la recherche d'une rose bleue. Marcelo se livre et se met en scène. Il parle de sa famille, de la religion, de sa séroposivité, de ses fantasmes et de ses amants... Marcelo parle de sa vie présente et de ce qu'il en attend.
L’œil du chien dresse le portrait de la réalisatrice et de sa grand-mère. Voyant la maladie manger le visage de celle qui l'a élevée, Laure Portier la filme, se préparant à la voir disparaître. Pour se préparer à l'inévitable, toutes deux tentent de renforcer leurs liens, dans une tendresse partagée.
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