Pier Paolo Pasolini termine le montage de son dernier film, "Salò ou les 120 journées de Sodome". Au mois d’août, le négatif original du film est dérobé et une rançon importante est exigée...
En Italie, dans un petit village de bord de mer, les habitants sont réunis pour une fête populaire où l'on attend l'arrivée par les eaux d'une statue illuminée de la Vierge de la mer, la Stella Maris. C'est l'histoire d'un artisan de la lumière et sa fille, d'un maire borgne, de feux d'artifice et de street art comme signe de révolution.
Paolo Sorrentino fait le portrait de Silvio Berlusconi, homme politique ayant défrayé la chronique. Entre mensonges et démesure, vacuité et déboires judiciaires, le cinéaste s'attarde sur l'entourage du "Cavaliere".
Bologne, 2002. Les universités se soulèvent contre la réforme du travail. L’assassinat d’un juge ouvre des vieilles blessures politiques entre l’Italie et la France. Marco, ex-militant d'extrême gauche, condamné pour meurtre et réfugié en France depuis 20 ans grâce à la Doctrine Mitterrand, est soupçonné d’avoir commandité l'attentat. Il décide alors de prendre le maquis, avec sa fille de 16 ans.
Rome, novembre 1975. Le dernier jour de la vie de Pier Paolo Pasolini. Sur le point d’achever son chef-d’oeuvre, il poursuit sa critique impitoyable de la classe dirigeante au péril de sa vie. Ses déclarations sont scandaleuses, ses films persécutés par les censeurs. Pasolini va passer ses dernières heures avec sa mère, puis avec ses amis proches avant de partir, au volant de son Alfa Romeo...
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