Tourné dans un Centre éducatif fermé, "Le Cri est toujours le début d’un chant " accompagne neuf garçons dont la loi empêche de montrer le visage. Lorsque ces dangereux "délinquants" se fabriquent des masques afin de pouvoir prendre la parole dans un film, ils se révèlent doux, drôles, poètes ou philosophes et offrent une réflexion profonde sur la justice et l’incarcération des mineurs.
Ils s’appellent Fanta, Joffrey, Soumeya... Ils sont en prison, au lycée, au travail. Ils ne se connaissent pas et communiquent par messages vidéo. Ils ont en commun le projet un peu fou d’écrire une nouvelle Constitution. Pendant près d’un an ils vont partager le bonheur et la difficulté de réfléchir ensemble. Cette aventure va les conduire jusqu’à l’Assemblée Nationale.
À 9 ans, Belinda vit en foyer avec sa sœur. À 16 ans, elle s’apprête à assister au baptême de son neveu et envisage de devenir mécanicienne, mais elle doit d'abord aider sa mère, qui va partir « en cure ». Son père, alors emprisonné, ne peut assister à la cérémonie. À 23 ans, elle s'apprête à se marier avec son fiancé, sur le point d'être libéré...
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