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Pour Keywan Karimi, devenu le personnage de son film

Insulte à la religion. C'est le chef d'accusation qui vaut au cinéaste iranien Keywan Karimi la peine d'un an de prison et 223 coups de fouet. Si on ignore tout du calcul qui conduit au résultat de 223, on sait que la sentence sanctionne l'utilisation de plans d'archives des manifestations de 2009. Après trois ans d'un suspense éprouvant - ses premiers démêlés avec la police datent de 2013 ! - Keywan a été emprisonné en novembre.

Son producteur François D'Artemare appelle à la mobilisation pour que le réalisateur ne purge pas sa peine. Une soirée de soutien aura lieu le mardi 13 décembre au Cinéma des Cinéastes.


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