Né dans une famille de griots le 4 juin 1968 à Bobodioulasso au Burkina Faso, Dani Kouyaté approche très jeune l’art du spectacle. Il entre à l’Institut Africain d’Etudes Cinématographiques de Ouagadougou et obtient une licence de création cinématographique. Puis il poursuit ses études à Paris : anthropologie, cinéma... Paris, où il réside désormais, et où il va très vite se lancer dans le théâtre en tant que metteur en scène et comédien.
Trois courts métrages à son actif (Bilakoro en 1989, Tobere Kossam en 1991 et Les larmes sacrées du crocodile en 1993) il se lance en 1995 dans son premier long. Sa culture familiale comme ses études l'emmènent sur le terrain des contes et légendes comme terreau de ses histoires. Il s’en sert pour son premier film, Keïta, l'Héritage du Griot qui raconte l'histoire de Soundjata Keïta, fondateur de l’Empire Mandingue.
En 2001, il décide de porter à l'écran la légende du Wagadu (mythe Soninké du 7e siècle), inspirée de la pièce de théâtre La légende du Wagadu vue par Sia Yatabéré de l´auteur mauritanien Moussa Diagana : Sia, le rêve du pytho...
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Né dans une famille de griots le 4 juin 1968 à Bobodioulasso au Burkina Faso, Dani Kouyaté approche très jeune l’art du spectacle. Il entre à l’Institut Africain d’Etudes Cinématographiques de Ouagadougou et obtient une licence de création cinématographique. Puis il poursuit ses études à Paris : anthropologie, cinéma... Paris, où il réside désormais, et où il va très vite se lancer dans le théâtre en tant que metteur en scène et comédien.
Trois courts métrages à son actif (Bilakoro en 1989, Tobere Kossam en 1991 et Les larmes sacrées du crocodile en 1993) il se lance en 1995 dans son premier long. Sa culture familiale comme ses études l'emmènent sur le terrain des contes et légendes comme terreau de ses histoires. Il s’en sert pour son premier film, Keïta, l'Héritage du Griot qui raconte l'histoire de Soundjata Keïta, fondateur de l’Empire Mandingue.
En 2001, il décide de porter à l'écran la légende du Wagadu (mythe Soninké du 7e siècle), inspirée de la pièce de théâtre La légende du Wagadu vue par Sia Yatabéré de l´auteur mauritanien Moussa Diagana : Sia, le rêve du python.
En 2003, le cinéaste change de registre et tourne en Numérique Haute Définition son troisième long métrage Ouaga Saga : Une comédie urbaine avec des adolescents de Ouagadougou. Depuis il a étendu son champ d'action au documentaire avec Joseph Ki-Zerbo - Identités/Identité pour l'Afrique (2004) et Souvenirs encombrants d’une femme de ménage (2008)
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