Portrait d'un militant de gauche assassiné dans une embuscade policière. Ce film fait un an après sa mort, retrace à travers le témoignage de ses camarades de lutte et de ses amis, la vie et l’histoire politique de Carlos Marighela.
Le 4 septembre 1969, des révolutionnaires brésiliens enlèvent l'ambassadeur des États-Unis. Ils réclament la publication de leur manifeste et la libération de quinze prisonniers politiques.
Dans un centre social de la banlieue de Sao Paulo géré par l'Eglise évangélique, Giselle, une femme ayant des problèmes d'alcool, attend la décision de Valeria, l'assistante sociale. Celle-ci doit décider si Giselle peut avoir la garde de ses enfants, qui passent leurs journées au centre.
Scandé par l’exclamation « Terre ! Terre ! » et nourri par le "Manifeste anthropophage" d’Oswald de Andrade (1928), ce film est une évocation fiévreuse de l’histoire coloniale du sertão brésilien. Sélection officielle Cinéma du Réel 2016. [Film en version originale avec sous-titres anglais]
Entre saudade d'un paysage familier détruit et science-fiction du souvenir d'enfant, évocation de l'oncle Mauro, exilé à Cayenne. En sélection au Festival Cinéma du Réel 2013. Ce film a reçu le Prix du Court-métrage au Festival Cinéma du Réel 2013.
À Fortaleza, au Brésil, aimer, boire et chanter. Rentrer chez soi en bravant les chiens errants. Et photographier, jusqu’à ce que l’appareil en plastique acheté en 2013 ait rendu l’âme. Leornardo Mouramateus propose un montage photographique accompagnant les dérives et les déboires des fêtes de ses amis. Ce film a obtenu le Prix du court-métrage au Festival Cinéma du Réel 2015.
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