En Italie, dans les années 30. Depuis son enfance, Marcello est obsédé par un crime qu'il croit avoir commis. Pour échapper à ses pulsions, il se réfugie dans le conformisme et, l'époque aidant, s'adonne au fascisme...
Pier Paolo Pasolini termine le montage de son dernier film, "Salò ou les 120 journées de Sodome". Au mois d’août, le négatif original du film est dérobé et une rançon importante est exigée...
1975. "Le Libanais" a un rêve : conquérir Rome. Pour réaliser cette entreprise sans précédent, il met en place une organisation criminelle sans pitié. Pendant 25 ans, elle se développera et son histoire sera indubitablement liée à la période la plus noire que l'Italie ait connue ces années-là : terrorisme, enlèvements et corruption au plus haut niveau politique.
Ex-militant d’extrême gauche, Giorgio a passé plusieurs années en Amérique centrale pour échapper à la justice. De retour en Italie, il se retrouve en prison, mais voit sa peine allégée en devenant l’indic d’Anedda, commissaire de police véreux. À peine libéré, il escroque le patron d’un club de strip-tease. Mais Giorgio a d’autres ambitions : monter un très gros coup avec la complicité d' Anedda.
Un député meurt dans un accident d'automobile. Mais le commissaire Lombardozzi découvre qu'on l'a assassiné un peu plut tôt, dans un motel. Le coupable est inculpé. Un peu trop vite ?... Un bel exemple de l'art de Comencini, maître italien : le drame sous-jacent est habillé de rires, et porté par l'acteur-roi, ici un Alberto Sordi virtuose.
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