L'histoire débute dans les années 1960 et raconte des histoires de la communauté antillaise de Londres, confrontée à un environnement souvent hostile.
En août 2016, Rio de Janeiro accueille les Jeux olympiques d'été. À quelques pas du stade Maracanã, une centaine de familles miséreuses tentent de survivre dans un immeuble désaffecté contrôlé par des narcotrafiquants.
En 2025, à Copenhague, une attaque à la bombe plonge le pays dans une stigmatisation sans précédent des musulmans. Le Mouvement nationaliste profite de l’opportunité pour faire campagne. Recruté par un voisin, le jeune Zakaria va prendre les armes pour tenter d’assassiner le leader du parti d’extrême droite.
Bryon “Pitbull” Widner, ancien membre d'un gang de néo-nazis, doit affronter des conséquences mortelles en tentant de tourner le dos à une vie faite de violence et de haine. Il peut compter sur la femme qu'il aime et l'aide d'un activiste afro-américain.
Une évocation de la lutte menée par les Black Panthers dans l'Amérique des années 1960 et 1970 .
Un an après la mort d’Alton Sterling, une chronique de la communauté Afro-américaine de Baton Rouge en Louisiane, durant l’été 2017, quand une série de meurtres violents agite le pays. Une réflexion sur la question raciale, un portait intime de celles et ceux qui luttent pour la justice, la dignité et la survie dans un pays qui les maintient à la marge.
Ouvrir La Voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. En tant que femmes noires, elles font l'expérience de la différence deux fois, tributaires de clichés spécifiques liés aux identités "femme" et "noire".
1992, à South Central. La maison de Millie constitue un refuge pour les enfants d'un quartier en perdition qui va bientôt s'embraser avec l'affaire Rodney King.
La Ciotat, été 2016. Antoine a accepté de suivre un atelier d’écriture où quelques jeunes en insertion doivent écrire un roman noir avec l’aide d’Olivia, une romancière connue. Mais Antoine, misanthrope, va s’opposer rapidement au reste du groupe et à Olivia, que la violence du jeune homme va alarmer autant que séduire...
Régis Sauder revient dans le pavillon de son enfance à Forbach. Il y a 30 ans, il a fui cette ville pour se construire contre la violence et dans la honte de son milieu. Entre démons de l’extrémisme et déterminisme social, comment vivent ceux qui sont restés ? Ensemble, ils tissent mémoires individuelles et collectives pour interroger l’avenir à l’heure où la peur semble plus forte que jamais.
Ce montage de blogs vidéo recueillis de 2009 à 2011 tisse un récit collectif diffracté et contradictoire. Bientôt les « FAITS » – mot martelé par chacun dans un équivalent contemporain du chœur antique – s’effacent sous le gribouillis de la rumeur, de l’opinion, de la mise en scène de soi par les locuteurs devant leur webcam.
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