Haïm-Aaron vit à Jérusalem, où il effectue de brillantes études dans une yeshiva, un centre d'étude religieuse. Sa dévotion suscite l’envie de tous. Un soir, il est pris d'un malaise et s'effondre. Alors que les médecins le déclarent mort, son père le ramène miraculeusement à la vie. Dès lors, Haïm-Aaron s'éloigne de la foi, tandis que son père craint d'avoir contrarié les desseins de Dieu.
Et si le conflit israélo-palestinien était surtout une question d’éducation ? La réalisatrice israélienne Tamara Erde se fiait à l'histoire de son pays racontée à l'école, avec du recul elle a commencé à douter car elle ignorait tout de l'histoire palestinienne et de l'occupation. Elle pose ainsi sa caméra dans les écoles de ces deux pays qui s'opposent depuis plus de 69 ans.
Après "Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin", film-enquête et choral sur l'assassinat en 1995 du Premier ministre israélien, Amos Gitaï a imaginé une « fable » sur le même sujet, nourrie par les souvenirs de Leah Rabin. Quatre protagonistes féminines, quatre voix associées dans un mode récitatif, « entre lamentation et berceuse » remontent le cours de l'Histoire et de la violence.
À la fin du Shiv’ah - les 7 jours de deuil dans la tradition juive - l’existence doit reprendre son cours. Tandis que Vicky, sa femme, se réfugie dans les obligations du quotidien, Eyal, lui, décide de lâcher prise… Avec un ami de son fils défunt, il partage un moment de liberté salvateur et poétique, pour mieux renouer avec les vivants...
Dorona, 35 ans, n'arrive pas à accomplir son vœu le plus cher, celui de devenir mère. Refusant d'adopter un enfant, elle s'enfonce dans la déprime et devient agressive vis-à-vis de son mari. Quand sa mère décède brutalement, elle apprend que l'homme qu'elle croyait son père ne l'était pas. En fait, Dorona est le fruit d'une liaison passionnée avec un ancien amant algérien...
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