Le dimanche c'est le jour de repos, un jour où l'on peut tout faire et où on ne fait rien. Le temps passe et inéluctablement l'homme n'est qu'un spectateur. On tente alors de remplir ce vide qui nous angoisse par le rire ou les les larmes... Premier court-métrage de l'auteur de "Parasol", sélectionné au festival de Cannes 2011-Semaine de la critique.
Afghanistan 2014. A l’approche du retrait des troupes, le capitaine Antarès Bonassieu et sa section sont affectés à une mission de contrôle et de surveillance dans une vallée reculée du Wakhan, frontalière du Pakistan. Une nuit, des soldats se mettent à disparaître mystérieusement dans la vallée.
Sur la route de son prochain concert, Marc Stevens, chanteur itinérant, tombe soudainement en panne. Il fait nuit noire, en pleine campagne, le temps est épouvantable et sa camionnette refuse de redémarrer, mais il trouve une petite auberge isolée.
Paulo, un jeune pianiste, rencontre Ilir, un bassiste d’origine albanaise. Aussitôt, c’est le coup de foudre. Du jour au lendemain, Paulo quitte sa fiancée pour s’installer chez Ilir. Le jour où ils se promettent de s’aimer pour la vie, Ilir quitte la ville pour ne plus revenir.
Peter De Wit, la cinquantaine, se réveille au beau milieu de la nuit et constate avec effroi qu'il est dans la chambre froide d'une morgue. Comment en est-il arrivé là ? Le premier long-métrage de la belge Martine Doyen, entre fable et cauchemar, transforme le chanteur Arno en mort vivant qui s'ignore et pourrait bien être un prince.
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