Engagé dans la Légion étrangère après avoir fui la Biélorussie, un soldat voit sa vie bouleversée par une rencontre au cours d'une mission au Niger.
Marié à Céline, avocate, Maxime tente de concilier vies personnelle et professionnelle, chose peu aisée pour un gradé de la Légion étrangère. Les absences pour cause de périlleuses missions pèsent sur son couple autant que sur ses hommes...
Lorsque les talibans mettent un prix sur la tête d'Hassan Fazili, il doit fuir avec sa femme et ses deux filles. Fazili montre les dangers auxquels sont confrontés les réfugiés en quête d'asile et l'amour dans une famille en cavale.
Abbas, qui a fui la guerre en Centrafique, attend que sa demande d'asile soit étudiée, dans un semblant de stabilité qui peut être balayé à tout moment...
La seconde guerre mondiale, côté français, section soldats oubliés - ces tirailleurs maghrébins et sénégalais réhabilités grâce à ce film, soixante ans plus tard. Présenté au Festival de Cannes en 2006, ce grand film d'action, poignant et engagé, récolta un prix d'interprétation collectif pour les cinq acteurs principaux : Jamel Debbouze, Samy Naceri, Roschdy Zem, Sami Bouajila et Bernard Blancan.
Tourné entre 1995 et 2012, "Forgetting Vietnam" nous raconte à travers ses images l'évolution politique et culturelle du pays. Le film tend aussi à traduire les mutations d'un paysage pris entre la terre et l'eau, où résonnent les témoignages des habitants, des immigrants ou des vétérans de la guerre.
Lorsque le génocide arménien débuta en 1915, Nazareth avait 12 ans, Lousaper venait de naître. Le film trace les chemins d’exils de ces deux enfants, depuis leur village d'Arménie jusqu'à Beyrouth. Avec "Géographies", Chaghig Arzoumanian raconte le génocide arménien à travers l'histoire de ses parents. [Film en version originale avec sous-titres anglais]
A la veille de la 2nd Guerre Mondiale, 20 000 Vietnamiens étaient recrutés de force dans l’Indochine française pour venir suppléer dans les usines d’armement les ouvriers français partis sur le front allemand. Bloqués en France après la défaite, livrés à la merci des occupants allemands et des patrons collabos, ces ouvriers civils appelés Công Binh menaient une vie de parias sous l’Occupation.
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