Portrait de New-York et de ses habitants, frappés par l'ouragan Sandy. Une méditation sur l'aliénation urbaine et la déconnexion personnelle dans l'œil du cyclone, par le réalisateur de Mobile Homes .
Los Angeles, la nuit.De jeunes gens rapportent les souvenirs d’une ville étrangère – Téhéran – dans une langue qui n’est pas la leur, comme possédés par l’esprit d’Iraniens exilés. Leurs corps devenus hybrides, hôtes dans les deux sens du terme, évoluent dans un univers rendu irréel par la présence fantomatique d’un autre espace-temps.
"Faire descendre le soleil. Faire monter l’or" : Deborah Stratman fait résonner la nécessité de capter les rares reflets du soleil dans la cuvette qu’est Dawson City (Yucon, Canada) avec les éclats encore vifs de la ruée vers l’or qui s’y déroula à la fin du XIXe siècle. En compétition internationale dans la section "Courts-métrages", au Cinéma du réel 2018.
En accompagnant cinq personnes en fin de vie, les réalisateurs nous confrontent frontalement à ces corps et ces esprits affaiblis et interrogent notre regard. Il en ressort un grand film sur l’amour. Présenté dans la section "IR/réel" au Cinéma du réel 2018.
Cette symphonie urbaine miniature commandée par les Archives du Film de Chicago et mise en musique par le jazzman Phil Cohran entrelace des extraits de trente films différents, restituant le pouls de la métropole verticale. Sélectionné au festival Cinéma du réel 2016.
"Long Story Short" se penche sur l'accroissement de la pauvreté et des inégalités aux Etats-Unis et met ce phénomène en lien avec le développement des nouvelles technologies. Le film utilise les moyens de communication contemporains pour donner la parole aux laissés-pour-compte de la société américaine contemporaine. Grand Prix du Cinéma du Réel 2016.
Dans "Cruising" de Wiliam Friedkin, Al Pacino campait un flic enquêtant dans le milieu gay SM de New-York. Des scènes entières, jugées trop crues, en ont été retirées au montage. James Franco et Travis Mathews décident de retourner les scènes manquantes en studio. Le tournage se transforme alors en "work in progress" où se réfléchissent en miroir le cinéma et le sexe.
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