Benoît, une quarantaine d’années, n'a pu assister à l’enterrement de sa mère car son train au départ de Londres était en retard. Cette excuse ne convainc pas son frère. Leur mère, sous forme d'apparitions, demande à Benoît de révéler un secret, qu'il pensait définitivement oublié....
Isabelle et Gérard se rendent à un étrange rendez-vous dans la Vallée de la mort, en Californie. Ils ne se sont pas revus depuis des années et répondent à une invitation de leur fils Michael, photographe, qu'ils ont reçue après son suicide, 6 mois auparavant. Malgré leurs différends, ils suivent doctement le parcours initiatique que Michael leur a préparé, sans savoir ce qu'ils vont découvrir...
En proie à son désir pour les femmes, Richard O. explore les arcanes sinueux de l’érotisme. 13 rencontres, 13 femmes, 13 expériences....
A Trieste a vécu Bobi Wohler, un écrivain qui n'a jamais écrit. Une jeune femme part sur ses traces et rencontre ceux qui l'ont connu et aimé afin de se former une image de ce mystérieux auteur sans œuvre. Une silhouette se dessine peu à peu.
Mer du Nord, été 1986. Etre animateur culturel dans un camping : mission impossible ? Vandeputte, le gérant du camp, entend, lui, se faire entendre. Théâtre et poésie face à karaoké et élection de Miss Cosmos. Beau combat ! Un film 100% sea, sex and belge. Donc intelligent, subtil et fuck.
Le voyage de Louis Trebor dessine une boucle, la trace de la rotondité de la terre. Du Jura, le long de la frontière suisse à Pusan en Corée du Sud, jusqu'à l'Océanie. Trebor vit en planque. Il se sent épié. Son corps est solide, jouisseur, mais le cœur va lâcher. Il mise tout sur sa nouvelle vie, avec son nouveau cœur - une vie plus belle, plus libre, sans accrocs, sans remords et sans rêves.
Carl et ses amis ont l'intention d'acheter un hôtel de luxe. Arrivé en éclaireur à “Belhorizon”, Carl découvre que ce n'est qu'une modeste pension de famille tenue par un couple d'immigrés espagnols. Un premier film belge tout en ruptures de ton, clin d'oeil à Bunuel et à son “Charme discret de la bourgeoisie”, renouant avec le "réalisme magique" cher à André Delvaux.
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