Pour cette saison 5, Quartiers Lointains propose 4 courts métrages sur le thème "Image de soi". NULLE PART - Askia Traoré LE BLEU BLANC ROUGE DE MES CHEVEUX - Josza Anjembe GAGARINE - Fanny Liatard, Jérémy Trouilh
Félix, Ana et Seydou vivent dans le même immeuble HLM sans se connaître. Une panne d’ascenseur va les réunir jusqu'à un dénouement tragique.
Julien prend ses fonctions dans un centre de protection maternelle infantile dans un quartier difficile. Il va très vite être confronté aux difficultés qui font le quotidien de l’équipe du centre.
Tous les matins Matt, policier, prend sa voiture pour patrouiller dans une banlieue d'Oklahoma-City. Tous les matins, il appréhende les interpellations à venir et se questionne sur ce que ce métier a fait de lui.
Anna, dix-huit ans, a toujours vécu dans une cité de Bourg-en-Bresse. Mais quand une grande opportunité professionnelle l’oblige à partir sur Paris, elle ne semble pas prête à laisser derrière elle, son quartier, ses amis et ses souvenirs...
Aïcha et Myriam, 15 ans, vivent en HLM et cherchent à passer le temps jusqu'à ce qu'un jeune trafiquant de drogue leur demande de garder la porte de l'un des immeubles de la cité. Elles fantasment alors sur leur implication dans un cartel de la drogue.
Septembre 1992. Mantes-la-Jolie. Dans la foule et le bruit, les quatre tours de l’entrée du Val Fourré tombent. Quelques mois plus tard, on retrouve ceux qui disaient leur émotion du moment.
Alain est un petit garçon issu d’un milieu défavorisé. Pour gagner quelques pièces, il récite des poèmes de Rimbaud aux automobilistes bloqués au feu rouge. Un jour, Alain est invité à l’anniversaire de Guillaume qui habite les quartiers chics.
Yoan vit avec son père, angoissé au point de tout repeindre en bleu. Un jour, il rencontre Soraya, qui va ajouter des couleurs à sa vie...
À Las Cruces, un quartier défavorisé de Bogotá, la vie est trépidante et la tension quasi constante. Plongée dans un monde où la violence est quotidienne, mais où la joie et l'espoir n'ont pas disparu...
Berry est professeur des écoles dans un quartier populaire. Toujours vacataire, il souhaite être titularisé pour de bon. Cette journée va être décisive : il va se faire inspecter pour la première fois.
Rémi galère et veut que ça s’arrête. C’est décidé, il va s’engager dans l’armée. Le hic, c’est qu’il n’ose pas en parler à ses quatre meilleurs potes : Boom, Nasser, Redouane et Moussa. En plus, il paraît qu’il est, à présent, le dernier céfran de la cité...
Un panorama de la jeune création contemporaine à travers l’édition des premières œuvres de leurs auteur.e.s. Quatre courts-métrages réunis sous la bannière de l'association "1000 visages", fondée par Houda Benyamina, la réalisatrice de "Divines", pour démocratiser l'accès au milieu du cinéma.
Angélique, treize ans, vit avec ses nombreux frères et sœurs dans la banlieue de Valenciennes. Un jour, dans son collège, on lui propose de passer un casting pour un film en préparation...
Deux amis, Bilel et Adil, sont en galère : à cause d’un Snapchat au contenu ambigu, la rumeur de leur homosexualité court dans la cité. Vite, il leur faut trouver des filles pour sauver leur réputation. Les filles qui, elles, s’interrogent : y a-t-il ou non du porc dans les chips au bacon ?
Yassine, la vingtaine, est sur le point de réaliser son rêve : il prépare le tournage de son premier film. Il souhaite intégrer ses amis et ses voisins à l’aventure. Mais l’amitié a parfois ses travers...
Dans une cité ordinaire, la présence des forces de l’ordre débouche, le soir venu, sur un affrontement. L’aîné d’une famille sans père est envoyé à la recherche de Mehdi, le cadet de 17 ans... Par le co-réalisateur des "Derniers parisiens", avec déjà son acteur Reda Kateb, un court-métrage au cœur de la banlieue parisienne, Prix de la meilleure photographie au Festival de Clermont-Ferrand 2013.
"Ghost Cell" est une plongée en relief au cœur des entrailles d'un Paris organique. La ville est observée comme une cellule au travers d'un microscope virtuel. D'abord film documentaire et scientifique, "Ghost Cell" devient progressivement une balade onirique...
Voyage au cœur d’une banlieue laissée à l’abandon, "Peripheria" dresse le portrait d’un environnement urbain devenu sauvage : une Pompéi moderne où le vent souffle et les chiens rôdent, à la recherche des traces de la vie humaine. "Peripheria" a reçu le Prix du Public et le Prix André Martin au Festival du Film d'animation d'Annecy en 2016.
Tous les soirs depuis une semaine, une mystérieuse femme en burqa nargue les policiers qui patrouillent dans le quartier et déclenche des affrontements avec les jeunes de la cité. De son coté, Vince, ancienne légende du bitume usée par la vie, combat ses vieux démons pour ne pas redescendre dans la rue. 20 ans après La Haine, Vince renoue avec la violence.
Marseille, l’été. Une bande d’adolescents issus des quartiers populaires passe ses après-midis sur une plateforme de béton près de la corniche. Ils paradent, parlent fort, se baignent et sautent des rochers, du plus haut possible. Ils sont ici les rois.
Dans une cité du sud d’Alger, au milieu des années 1990, Djaber et Yamina sont voisins mais ne se connaissent pas. Pour l’un comme pour l’autre, il est si difficile de se rencontrer entre filles et garçons qu’ils ont presque cessé d’y croire. En quelques jours pourtant ce qui n’était jusque là qu’une violence sourde et lointaine éclate devant eux, modifiant à jamais leurs destins.
Opposition entre la vie passée sur les bords de Marne avec ses guinguettes, ses promenades ou encore ses cinémas et l'isolement d'une banlieue entassée dans des HLM, bidonvilles et pavillons situés près des aéroports et constructions insolites des années soixante.
Guy Moquet ou Guimo ou Guim’s, a promis à Ticky de l’embrasser au crépuscule en plein milieu du quartier devant tout le monde. Peut-être pas si fou ? Mais peut-être pas si simple .
Sofiane vit dans une cité de banlieue parisienne. Violent, il essaie d’être comme sa bande d’amis. Pourtant, Sofiane est attiré par les garçons. Homophobe le jour, homosexuel la nuit, Il incarne par ses contradictions le désarroi d'une jeunesse désœuvrée et sans repères, vivant renfermée sur elle-même.
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