Au moment des essais pour une courte scène de nu avec une comédienne, François, réalisateur, découvre le plaisir que peuvent éprouver certaines femmes en transgressant de petits interdits érotiques. Voulant apporter du nouveau dans le cinéma, il tente de tourner un film mi-fiction, mi-réalité autour de ce qui se révèle de façon inattendue une énigme et un tabou : le plaisir féminin.
Une anthologie de douze court-métrages pornographiques muets tournés entre 1905 et 1935. Véritables petites curiosités du patrimoine cinématographique, ces films étaient projetés dans les salles d’attente des maisons closes et les réalisateurs, parfois illustres, préféraient rester anonymes. Spontanéité et grâce naturaliste contribuent au charme et à l’humour de ce florilège.
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