Le documentariste américain est allé filmer de part et d'autre de la scène, dans l'intention de cerner les mécanismes de fonctionnement de la plus ancienne et la plus importante des institutions théâtrales, nous permettant de découvrir quel laboratoire extraordinaire et quel miroir de la société française elle est.
Le bouillon d’awara est une sorte de pot-au-feu aux multiples ingrédients. On raconte que celui qui en mange le Lundi de Pâques ne quittera plus jamais la Guyane. A partir de la recette de cuisine, prise à la fois comme métaphore et comme pratique concrète, le film s’infiltre dans la réalité multi-culturelle qui compose la Guyane, département français d’Amérique.
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