Trois jeunes de cité débarquent à Los Angeles à la recherche de leur ami d'enfance, Jimmy, dont ils sont sans nouvelle depuis 7 ans. Jimmy, retranché dans un motel à Hollywood pour écrire, se consume peu à peu dans la poursuite de ses rêves de gloire.
Imaginez un monde où un orchestre de tout petits musiciens vous suivrait partout et jouerait la bande originale de votre vie – exprimant vos émotions, vos peurs et vos espoirs. Dans ce monde vit Ederly Vernon, un homme solitaire dont la timidité maladive pousse son petit orchestre à jouer terriblement faux…
Après plusieurs années, Jean-Luc Dang revient à Chalon et trace un portrait de son quartier d'enfance avec un journal photographique, le temps de quelques jours .
Un sexagénaire solitaire vit dans un petit appartement, au dernier étage d’une tour. Tous les jours, une jeune femme lui confie son bébé, Téo. Un lien naturel et insolite se tisse entre ces deux êtres, l’un massif et robuste, l’autre petit et délicat.
"Ghost Cell" est une plongée en relief au cœur des entrailles d'un Paris organique. La ville est observée comme une cellule au travers d'un microscope virtuel. D'abord film documentaire et scientifique, "Ghost Cell" devient progressivement une balade onirique...
Voyage au cœur d’une banlieue laissée à l’abandon, "Peripheria" dresse le portrait d’un environnement urbain devenu sauvage : une Pompéi moderne où le vent souffle et les chiens rôdent, à la recherche des traces de la vie humaine. "Peripheria" a reçu le Prix du Public et le Prix André Martin au Festival du Film d'animation d'Annecy en 2016.
Cette symphonie urbaine miniature commandée par les Archives du Film de Chicago et mise en musique par le jazzman Phil Cohran entrelace des extraits de trente films différents, restituant le pouls de la métropole verticale. Sélectionné au festival Cinéma du réel 2016.
Dans une cité du sud d’Alger, au milieu des années 1990, Djaber et Yamina sont voisins mais ne se connaissent pas. Pour l’un comme pour l’autre, il est si difficile de se rencontrer entre filles et garçons qu’ils ont presque cessé d’y croire. En quelques jours pourtant ce qui n’était jusque là qu’une violence sourde et lointaine éclate devant eux, modifiant à jamais leurs destins.
À Fortaleza, au Brésil, aimer, boire et chanter. Rentrer chez soi en bravant les chiens errants. Et photographier, jusqu’à ce que l’appareil en plastique acheté en 2013 ait rendu l’âme. Leornardo Mouramateus propose un montage photographique accompagnant les dérives et les déboires des fêtes de ses amis. Ce film a obtenu le Prix du court-métrage au Festival Cinéma du Réel 2015.
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