Mena vit seule avec sa fille Clara qui fête ses 7 ans. Malgré leur situation précaire, elle parvient tout de même à lui organiser une fête d’anniversaire. Mais un coup de fil de sa mère vient bouleverser sa journée.
«Agit Pop», un magazine culturel, cesse sa parution. Un dernier bouclage doit être l'occasion de retrouvailles d'anciens amis, mais se transforme en catastrophe.
Névine, surveillante dans un collège, met tout son cœur dans ce petit boulot un peu ingrat entre les profs, l’administration et les élèves. Logan, un collégien qu’elle apprécie, insiste pour récupérer une casquette aux objets trouvés. Elle ne se doute pas des conséquences que son geste va entraîner.
Simon, un père divorcé, récupère sa fille, Léa, pour le week-end. C'est comme ça une semaine sur deux. Très vite, Léa a la sensation que quelque chose ne va pas. C'est le début d'un week-end qui va bouleverser leur existence.
Miguel veille sur sa sœur Clara, jeune fille à la santé fragile. Ils partagent une grande intimité et jouent constamment ensemble. Un jour, la jeune fille lui fait une requête à laquelle il ne peut accéder lui-même. Voyant la santé de sa sœur décliner, Miguel part à la recherche d'un jeune homme pouvant exaucer son souhait.
Pauline n'a aucune nouvelle de Bruce, l'homme marié avec qui elle a une histoire. Le temps d'un séjour à la campagne avec son amie Violette, Pauline attend un message de sa part, comme une véritable obsession amoureuse.
Dans le brouillard matinal d’une route enneigée, un choc sur la voiture de Macha : c’est Mo, son fils de dix-sept ans, avec qui elle a coupé les ponts. À travers les montagnes, le fils entraîne la mère pour un dernier voyage ensemble. Aujourd’hui, Mo rejoint les chasseurs alpins, troupe d’élites de l’armée française... Présenté à la Semaine de la critique, au festival de Cannes 2017.
Un jeune photographe ambulant et son assistant proposent à des nomades tibétains de les prendre en photo devant différents fonds. Le film fut présenté à la Semaine de la Critique à Cannes en 2013 et fut nominé pour l'Oscar du meilleur court-métrage en 2015.
L’Amérique est une terre d’opportunités qui attire des migrants des quatre coins du monde. Riz, une immigrée en situation irrégulière ambitieuse et imprégnée du rêve américain, travaille dans un motel. Un jour, une découverte inattendue sur sa situation la contraint à prendre une décision qui changera sa vie... Un court-métrage présenté au festival de Cannes 2015.
Pour ses six ans, Selma reçoit un poulet comme cadeau d’anniversaire. Comprenant que l’animal va être tué pour nourrir la famille, Selma décide de le sauver et le laisse s'échapper. Lorsque la mère de Selma tente de le récupérer, elle devient la cible des tirs d’un sniper. Bienvenue à Sarajevo, en 1993. Présenté au festival de Cannes 2014.
Suzanne se prostitue depuis 15 ans. Elle a son bout de trottoir, ses habitués, sa liberté. Un jour, de jeunes prostituées africaines s’installent en périphérie. Suzanne est menacée. Rail d'or au Festival de Cannes 2014, César du meilleur court-métrage 2016 et prix d'interprétation au Festival de Sundance pour Laure Calamy.
Deux soldats, Daniel et Jérôme, fuient une guerre que nous ne voyons pas et dont nous ne savons rien. Jérôme est salement blessé, il va mourir, il le dit, il le sait, il a peur. Alors Jérôme souffle à Daniel une dernière volonté : il ne veut pas mourir puceau. Il veut mourir aimé...
Le dimanche c'est le jour de repos, un jour où l'on peut tout faire et où on ne fait rien. Le temps passe et inéluctablement l'homme n'est qu'un spectateur. On tente alors de remplir ce vide qui nous angoisse par le rire ou les les larmes... Premier court-métrage de l'auteur de "Parasol", sélectionné au festival de Cannes 2011-Semaine de la critique.
Marianne, Mike et Angèle sont réunis autour de leur mère. D'ici dix jours, après l’arrêt des machines qui la maintiennent dans le coma, Claudine sera morte. Dix jours ? Marianne n’a jamais compris qu’il faudrait compter aussi longtemps... ... Sélectionné au Festival de Cannes 2015 pour la 54ème Semaine de la Critique.
Justine, dite Junior, treize ans, des boutons et un sens de l'humour bien à elle, est un garçon manqué un brin misogyne qui voit son corps devenir le théâtre d'une métamorphose étrange... Un court sélectionné à Cannes par la Semaine de la Critique, signé par la jeune réalisatrice de "Grave", son premier long-métrage qui fit sensation au même endroit à Cannes en 2016.
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