Né à Besançon dans le Doubs, le 12 avril 1962, Jacques Maillot a d’abord suivi la voie du journalisme avant de se mettre à écrire des scénarios. En 1991, son premier court, Des fleurs coupées, est présenté à Clermont-Ferrand. Il enchaîne ensuite avec 75 centilitres de prière et Corps inflammables, deux moyens métrages qui sortiront conjointement en 1994. Dans ces deux œuvres chorales, il développe déjà sa manière et sa matière , où l’humain, son rapport au monde, son lien aux autres, occupent toute la place. Son premier long métrage, Nos vies heureuses (1999) reprend ces thèmes, incarnés par de jeunes comédiens pleins de promesses (Camille Japy, Olivier Py, Alain Beigel, Sami Bouajilah, Jean-Michel Portal…) et est présenté en Compétition au Festival de Cannes. Après des travaux d’écriture et un téléfilm autour d’une figure centrale féminine, Froid comme l’été (2002), il signe en 2008 un polar adapté d’un fait divers réel, Les Liens de sang, avec François Cluzet et Guillaume Canet en frères antagonistes –l’un voyou, l’autre flic....
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Né à Besançon dans le Doubs, le 12 avril 1962, Jacques Maillot a d’abord suivi la voie du journalisme avant de se mettre à écrire des scénarios. En 1991, son premier court, Des fleurs coupées, est présenté à Clermont-Ferrand. Il enchaîne ensuite avec 75 centilitres de prière et Corps inflammables, deux moyens métrages qui sortiront conjointement en 1994.
Dans ces deux œuvres chorales, il développe déjà sa manière et sa matière , où l’humain, son rapport au monde, son lien aux autres, occupent toute la place. Son premier long métrage, Nos vies heureuses (1999) reprend ces thèmes, incarnés par de jeunes comédiens pleins de promesses (Camille Japy, Olivier Py, Alain Beigel, Sami Bouajilah, Jean-Michel Portal…) et est présenté en Compétition au Festival de Cannes. Après des travaux d’écriture et un téléfilm autour d’une figure centrale féminine, Froid comme l’été (2002), il signe en 2008 un polar adapté d’un fait divers réel, Les Liens de sang, avec François Cluzet et Guillaume Canet en frères antagonistes –l’un voyou, l’autre flic.
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