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Le portrait d’une humanité réduite à son essence ... Entre les murs de Forbin, centre d'hébergement et de réinsertion sociale à Marseille, il y a trois cents hommes, il y a l’urgence. Ils ont des noms mais ils ont perdu leur histoire en route. Ils rient et se confrontent, ils refont le monde, celui qu’ils ont perdu. Ils ont un lit. Là ils attendront le jour.
Joaquim Pinto a contracté le Sida et l'hépatite C il y a vingt ans. Depuis c'est une lutte perpétuelle pour sa survie. Pour vivre au calme, il a choisi de quitter Lisbonne et de s'exiler à la campagne avec son compagnon Nuno et leurs chiens. Ingénieur du son (Monteiro et Oliveira) et réalisateur, Joaquim Pinto signe le journal filmé, pudique et élégiaque de sa lutte contre la maladie. Magnifique.
Pendant plusieurs mois, l'artiste Nekfeu a été suivi et filmé dans son travail créatif, à un moment où il remettait sa carrière en question et cherchait de nouvelles sources d'inspiration pour son album "Les étoiles vagabondes"...
Le Brésil comme vous ne l'avez jamais vu. Voilà un film documentaire conçu pour un chœur de 14 personnages adultes et 6 enfants. Chacun raconte une part de sa propre vie et se reconnaît aussi dans l'écho de la parole des autres. Par la voix mais aussi par la musique, la poésie, les danses, ils racontent la fragilité de l'instant, les couples qui s'aiment, les rêves, la sécheresse, la terre...
Les Ta’ang, minorité ethnique birmane, sont au cœur d’une guerre civile à la frontière chinoise. Depuis début 2015, de violents conflits ont contraint des milliers d’enfants, de femmes et de personnes âgées à s’exiler en Chine.
Près de Naples, le berger Tommaso veille sur un palais abandonné, pillé et réduit à l’état de décharge par la camorra. Polichinelle surgit alors des profondeurs du Vésuve pour accomplir sa dernière volonté : prendre soin d’un jeune buffle. Le personnage et l’animal voyagent ensemble à travers l’Italie. Entre mythe et réalité, "Bella e perduta" nous offre une fable sur l’Italie contemporaine.
Un jeune photographe ambulant et son assistant proposent à des nomades tibétains de les prendre en photo devant différents fonds. Le film fut présenté à la Semaine de la Critique à Cannes en 2013 et fut nominé pour l'Oscar du meilleur court-métrage en 2015.
"J'ai passé quatre semaines, trois nuits et deux jours à tourner autour d'un pays qui porte deux noms: Israël / la Palestine..." Avec ce documentaire à la première personne, Danielle Arbid, cinéaste spécialiste du monde arabe, est partie à la rencontre d'une société meurtrie dont elle dresse un portrait objectif et réaliste grâce à de nombreux témoignages.
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