Le cinéaste argentin, admirateur de Bresson, Bunuel et Pasolini, a imaginé son premier long métrage comme un conte, cherchant la "vérité" saisie sur les visages et à travers les paysages, pour en extraire l'essentiel : le caractère sacré de la vie. "Pendant que j’écrivais Los Salvajes, dit-il j’imaginais un film qui allait se vider, se détachant de la narration et des personnages, se faisant invisible à mesure qu’il avançait." Extraits de deux entretiens, l'un réalisé par Leonardo M D’Esposito pour BAE (le 10/10/12), l'autre par Roger Alan Koza pour CON LOS OJOS ABIERTOS (le 05/10/12).
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