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Claude Lanzmann : "La révolte de Sobibor ne pouvait être un moment de "SHOAH": elle méritait un film en soi."
L'auteur de Shoah nous demande "d'écouter la parole vive de Yehuda Lerner." Parce que "musées et commémorations instituent l'oubli autant que la mémoire. " et qu'il faut " faire justice d'une double légende, celle qui veut que les Juifs se soient laissés conduire au gaz sans pressentiment ni soupçon, que leur mort ait été "douce", et cette autre selon laquelle ils n'opposèrent à leurs bourreaux aucune résistance."