Le réalisateur du Porteur de serviette porte sa caméra sur le microcosme du pouvoir. " La politique n’est pas une chose sale, dit-il, tout au moins elle ne devrait pas l’être. C'est l'homme qui est sale." Et d'expliquer une façon de voir la politique, et une façon de faire du cinéma, tout à la fois minutieuse et généreuse.
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