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Sans la passion qui dévore, peut-on comprendre qu'il existe des choses qui nous dépassent ?
Jean Grémillon confie ses impressions sur Le Ciel est à vous à Radio-Cinéma, en 1956, douze ans après la sortie du film en salles. Le cinéaste y analyse son échec public et explique que, comme dans ses autres films, Remorques ou Lumière d'été, il simplement voulu raconter une histoire simple, avec des gens simples, pris dans des circonstances extraordinaires...