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Tetsuya Mariko : deux films qui frappent fort

Si le cinéma japonais brille aujourd’hui par le cinéma de Kore-Eda et Hamaguchi, et leurs chroniques intimistes inspirées par Ozu, il est également traversé par une veine plus souterraine, à la fois radicale et ultraviolente, qui irait de Koji Wakamatsu à Takashi Miike. Cet été, deux films inédits en France sont sortis en salle grâce à Capricci et nous laissent face à une évidence: un nouveau nom du cinéma japonais est à placer aux côtés de Miike et Sono Sion, celui de Tetsuya Mariko.


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