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Ulrich Seidl, regard de face

De l'Autriche, à émergé Michael Haneke ("Benny's video", "La Pianiste"). Mais d'autres cinéastes ont la caméra aussi percutante, tel Ulrich Seidl. À l'occasion d'un hommage rendu au cinéaste par le Festival de la Rochelle en 2007, Antoine de Baecque, critique et historien, a fait un tour d'horizon sur une oeuvre encore trop mal connue. Un seul de ses films n'avait été distribué normalement en France, "Dog days", jusqu'à ce que son dernier long-métrage, "Import, Export" présenté en compétition officielle au Festival de Cannes 2007 ne sorte, enfin, en janvier 2009. L'occasion de réparer vite fait une injustice cinéphilique grâce à la vod, car " voir un film de Seidl, écrit Antoine de Baecque, c'est prendre un train en marche – même parfois en pleine figure –, celui d'un cinéma dur, sans concession, méchamment drôle, et pourtant authentiquement humain, mais fait d'un seul tenant, une seule rame, traversant l'Autriche de part en part en allant au bout de la voie."


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