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Il s'essaie directement au genre du fantastique/horreur, en s"attaquant au remake de Patrick de Richard Franklin, qui eut sa petite heure de gloire à la fin des années 1970 (il remporta en France le Grand Prix du Festival d'Avoriaz).
Son amour du cinéma populaire trouve sa pleine mesure en 2014 dans un nouveau documentaire Electric Boogaloo: The Wild, Untold Story of Cannon Films qui dresse le portait du studio américain le plus cheap, le plus haï et le plus jalousé aussi, parfois, des années 80, la "Cannon". Là où les films de justicier de Charles Bronson, les coups de savates de JCVD et les muscles saillants de Chuck Norris côtoyèrent quelques beaux films d'auteurs signés Cassavetes, Altman, ou Kontchalovski. Effectivement, toute une histoire. Avec tous les ingrédients qu'affectionne particuièrement Mark Hartley...
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