Navigateur non compatible. Veuillez utiliser un navigateur récent
Mario se découvre une sclérose en plaques. Animé par les convictions politiques de sa jeunesse, il se lance dans une lutte pour le droit à l'euthanasie.
Thomas, Mario, Lynn et Speck forment une bande de jeunes, un peu dingues et révolutionnaires. Le temps passe et chacun suit son chemin. Mario se marie, a un enfant, puis divorce, avant qu’on lui diagnostique une sclérose en plaques. Chaque jour, son état se détériore, chaque jour, il perd un peu de l’indépendance qu’il chérit tant. Encore animé par les convictions politiques de sa jeunesse, il se lance dans une lutte pour que soit reconnu en Belgique le droit à l’euthanasie.
Le lecteur n'est pas installé ?
Pour votre information, la lecture en mode hors-ligne n'est pas compatible avec le système d'exploitation Linux
" (...) Ce drame dresse le portrait d’un homme joyeux, amoureux de la vie, dont la maladie le poussera à demander le droi
" (...) Ce drame dresse le portrait d’un homme joyeux, amoureux de la vie, dont la maladie le poussera à demander le droit à mourir. Mais plus qu’un malade, ses convictions politiques et son militantisme l’ont poussé à se battre de nombreuses années en faveur de l’euthanasie. Et derrière ce combat, c’est à l’humain que s’est intéressé le cinéaste, replaçant le débat à hauteur d’homme.(...) Le sujet fort permet aux comédiens de se mettre en valeur en alternant des scènes poignantes avec des saynètes caustiques dans lesquelles l’humour des personnages est ravageur, en particulier dans les pires moments. Surtout, le film a réussi à trouver le ton juste pour raconter cette histoire, sans sombrer dans le sentimentalisme ou le voyeurisme, et en mêlant l’intime à la lutte politique. Ode à l’amitié et fable humaniste, À tout jamais parvient à capturer la maladie avec une légèreté attendrissante, un regard bienveillant sur cette bande d’amis dont l’un des leurs voit sa chair dépérir de jour en jour.(...) Ce drame sensible demeure un exercice réussi qui permet de révéler une belle brochette d’acteurs. "
" Tout comme le bouleversant Mar adentro d'Alejandro Amenábar, A tout jamais s'inspire d'une histoire vraie pour &ea
" Tout comme le bouleversant Mar adentro d'Alejandro Amenábar, A tout jamais s'inspire d'une histoire vraie pour évoquer le combat pour le droit de mourir dans la dignité, en d'autres mots à pouvoir obtenir l'euthanasie. Le film de Nic Balthazar n'a certes pas l'admirable âpreté de celui de son collègue espagnol. Il choisit une voie plus positive, voire plus facile et sentimentale, dans un souci de toucher un vaste public que trop de dureté exclurait. Le réalisateur de l'excellent Ben X trouve un interprète de choix en la personne de Koen De Graeve. Lequel incarne un homme atteint de sclérose en plaques, qui va lutter pour qu'une loi autorise l'euthanasie en Belgique, et être ensuite le premier à exercer le droit tout juste conquis. L'émotion est bien sûr au rendez-vous d'un film efficace (...). "
La rédaction" (...) Nic Balthazar aime-t-il les sujets lourds ? Après l’autisme dans Ben X, il consacre un biopic à Mario Vers
" (...) Nic Balthazar aime-t-il les sujets lourds ? Après l’autisme dans Ben X, il consacre un biopic à Mario Verstraete, le premier Belge à avoir "bénéficié" de la loi sur l’euthanasie. Ce n’est pourtant pas le militant qu’il filme, mais l’homme dans son intimité, et plus encore le chemin à parcourir pour les proches, chez qui l’euthanasie n’est plus un concept, mais une réalité choquante. Celui de son meilleur ami médecin est, sans doute, le plus long. Acceptera-t-il de l’aider à partir ? Tel est le suspense de ce film qui fait le tour de la question d’un point de vue humain. La religion et la politique ne viennent guère s’immiscer parmi les parents, les amis, un petit garçon, la famille, tous soudés autour d’un objectif : permettre à Mario de continuer à vivre le plus confortablement possible. De son côté, Mario voit le verre de sa vie rempli à moitié, mais "est prêt à se battre pour chaque goutte, pourvu qu’on lui permette de partir avant d’être vide".
(...) Le film prend heureusement ses marques grâce à un excellent duo d’acteurs. Koen De Graeve et Geert Van Rampelberg installent le ton recherché, mélange d’humour et de franchise. C’est que Nic Balthazar entend lutter en permanence contre le sentimentalisme posté en embuscade. Il cherche à alléger, voire à rendre amusants, des moments poignants, comme les rencontres avec son fils ou le choix d’un fauteuil roulant (...).
Plus la fin approche et plus la pression émotionnelle se fait intense. C’est frontalement et dignement que Nic Balthazar aborde le maelström de la dernière journée, alors qu’émotion et malaise se télescopent. La question est posée et nul spectateur ne peut l’éviter. "
Nos offres d'abonnement
BASIQUE
1 | € |
le 1er mois(1) |
SANS ENGAGEMENT puis 6,99€ /mois
PREMIUM
9 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
15 | ,99€ |
/mois |
SANS ENGAGEMENT
*A l'exception des films signalés
BASIQUE
69 | ,99€ |
pour 1 an |
PREMIUM
99 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
CINÉPHILE
175 | ,99€ |
pour 1 an |
* A l'exception des films signalés
(1) Offre réservée aux nouveaux abonnés
_TITLE